| | | take it like a man. |  |
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Hwang Hee Jae
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| Sujet: take it like a man.  Mer 27 Mai - 7:03 | |
| Il agrippa l’élastique contre son poignet entre ses dents et tira légèrement contre celui-ci, qui glissa au bout de ses doigts, les emprisonnant. Un, deux, trois tours. Le sang se coupait et pulsait au bout de ses doigts. Puis l’élastique retombait, relâchait la pression. Il baissa la tête et passa ses mains sous l’eau qui coulait, les glissants contre son visage. Puis il referma le robinet. Il s’appuya contre le comptoir et redressa la tête, ses yeux se fixant automatiquement dans son propre regard. Vitreux. Vide. Des cernes. Il n’avait pas dormi de la nuit. Pas de la journée non plus. Il tourna la tête de coté un peu, tirant le menton, laissant apparaître une marque violine contre sa mâchoire. Il posa deux doigts dessus, appuyant légèrement, grimaçant à la douleur vive qui s’en émana de suite. Puis il chassa finalement l’étourdissement qui s’éprenait de lui en massant douloureusement son front, fermant les yeux.
Vide. Silence. Il n’avait même pas redressé la tête lorsqu’il était passé à coté de lui, même pas dit un mot à ce qu’il avait dit. Même s’il avait une envie irrésistible de le tuer – à l’instant même, lui sauter dessus, l’étrangler, le marteler. Une porte claqua en bas. Et c’est à ce moment qu’il sut que le vide, devant lui, grandissait. Il ne voyait plus l’horizon.
Il ouvrit les yeux, retrouvant la même scène pitoyable devant lui. Malheureusement. Il mordilla l’intérieur de sa joue, réalisant qu’il était resté devant la glace un bon quinze minutes à réfléchir au prochain mouvement. Sans parler des 45 autres minutes passées dans son lit à fixer l’écran de son portable, jusqu’à ce que le bruit distinct du manque de batterie le ramène à la réalité. Et voilà où il se retrouvait. A fixer la glace, derrière laquelle se retrouvait une pharmacie trop complète pour qu’il ne sache à quoi servaient tous les médicaments fourrés par là. Et l’idée lui semblait parfaite. Tout simplement parfaite, pensa-t-il, en regardant sa bonne amie, la bouteille de whisky posée à coté de sa main. Il ne savait toujours pas comment il avait réussit à ingurgiter plus de la moitié de la bouteille. Mais ça n’importait plus, de toute façon. Il fit glisser la glace de coté et posa ses doigts sur une bouteille. Puis une seconde. Finalement, il tira le petit panier, contenant toutes les bouteilles et tous les comprimés. Puis il se laissa retomber au sol, la bouteille dans une main, le panier dans l’autre, qu’il colla presque possessivement contre son ventre alors que sa vision embrouillée l’empêchait de voir correctement les contenants. Il tira la plus grosse en premier, forçant sa vue pour lire ce qui était écrit sur la mise en garde.
Ne pas mélanger avec de l’alcool.
Il mordilla sa lèvre supérieure et sourit nerveusement, avant d’ouvrir le contenant et de laisser s’échapper les comprimés dans la paume de sa main. Bleu, rouge, il ne savait plus exactement de quelle couleur ils étaient. De toute façon, bientôt, ils se noyaient dans son estomac, dans un bain de whisky.
-
L’air était frais. Presque froid. C’était probablement la proximité de l’eau. Mais ça ne l’atteignait pas. Pas autant que l’étourdissement un peu trop intense, la fatigue imitée et la faiblesse défective qui se prenaient de lui. Il ferma les yeux quelques secondes et posa ses mains contre le petit mur de brique grise du pont, se sentant chavirer vers l’avant. Non, c’était peut-être vers l’arrière finalement. Ou peut-être que ce n’était ni l’un ni l’autre. Il partait, c’était tout ce qu’il savait. Ce sentiment lui faisait peur, mais l’apaisait dans un sens non commun à la fois. Il ouvrit difficilement les yeux et regarda ses propres mains. Blanches. Son visage, blanc aussi. Un blanc maladif. Ses yeux se refermèrent d’eux-mêmes. Noir. Son corps se désistait de toutes ses forces et la seule chose qu’il savait, c’est qu’il s’affaissait contre le dit mur de brique. Le silence. Non, pas tout à fait. Un cillement constant dans ses oreilles. Et c’était humide. Non, mouillé. Plus d’air, plus de souffle. Et finalement, rien. Le gros vide, le noir, plus rien.
-
… cœur bat !
Non.
Ouvrez les yeux.
Pitié… non.
Tenez ma main, serrez ma main. Ouvrez les yeux, bougez, faites…
Laissez moi.
Malgré lui, il serra les doigts autour du pouce qui se glissait dans sa main. Faiblement.
Si je… s’il vient… s’il est là…
Encore le vide. Le noir, le rien, le silence, l’horizon qui s’éloignait. | |
| | | | Kang YongSun
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| | Sujet: Re: take it like a man. Mer 27 Mai - 8:06 | |
| Son index pesa a nouveau contre le bouton de la télécommande, ouvrant la télé, fermant la télé. Geste répétitif sans n’avoir aucun brut précis, si ce n’est que simplement peser contre quelque chose. Il porta a ses lèvre sa nouvelle petite copine, vodka, ou comme il sa surnommait amoureusement ; Vicki. Vicki n’était pas bavarde, mais elle était là. Elle ne jouait pas dans ses cheveux, elle ne se collait pas contre sa peau mais elle donnait cette certaine chaleur manquante. Laissant à l’intérieur de sa gorge une longue trainé chaude – pratiquement apercevable depuis maintenant quatre heures. Il commençait à se lasser de cette Vicki, elle perdait tout intérêt. Elle était beaucoup trop sérieuse, elle ne riait pas. Il soupira simplement, complètement conscient qu’il ne trouverait pas ce manque dans l’alcool ou dans cette petite manette qu’il martyrisait depuis qu’il était rentré dans l’appartement. Il soupira doucement, avant de soupirer désespérément, réponse a ses propres sons, à sa propre divagation. Vicki entra de nouveau en lui, riant de son sort, le traitant d’imbécile. Il glissa doucement contre le canapé, rapprochant ses genoux contre son torse, écoutant son portable vibrer à nouveau. C’était le troisième appel en cinq minutes, ou en trois peut-être. Il laissa pourtant sonner le petit engin. La magie n’existe pas, l’amour n’existe pas. C’était exactement comme un dessin de craie sur un tableau noir. Si facile a remplir et pourtant. Quelqu’un fini par l’effacer d’un revers de main. C’était si pathétique d’aimer quelqu’un a ce point. Il posa lentement sa main contre son portable, l’apportant d’un geste lasse jusqu'à son visage.
Vous avez trois nouveaux messages.
Et si c’était lui ? Si c’était Hee qui l’appelait pour s’excuser, pour le supplier de revenir, qu’il lui manquait ? Et si c’était pour l’injurier ou encore Sohan qui appelait pour l’insulter d’avoir frapper le plus jeune ? Il mordilla doucement sa lèvre inferieur, hésitant à peser sur le bouton effacé. Au fond, pourquoi désirait-il de ses nouvelles ? Au fond pourquoi l’envie d’entendre sa voix lui semblait vitale, au point d’en avoir les larmes aux coins des yeux. N’avait-il pas assez souffert depuis le début ? La vie ne lui avait-elle pas assez prouvé qu’ils n’étaient pas faits pour être ensemble ? Hee ne lui avait-il pas clairement dit qu’il n’en n’avait complètement rien à foutre que lui ? Il porta l’appareille contre son oreille, écoutant distraitement le premier message. Sa mère, réclamant des nouvelles. Aucunement intéressant, de toute manière, il n’avait rien a lui dire. Rien de bien joyeux – Maman ? Tu ne croira pas à ça ! Hee n’est pas mort ! Il a simplement décidé qu’il partait avec Sohan !- Deuxième message, c’était Sohan. Juste à entendre sa voix, il savait que ce n’était pas pour prendre –lui aussi- de ses nouvelles. Non, le messages était beaucoup plus important, beaucoup plus ..
Sun ! Écoute, Hee est à l’hôpital. Je. J-Je ne sais pas encore qu’est-ce qui se passe, je sais simplement qu’il a été transporté d’urgence. Ils n’ont pas voulu me dire quoi que ce soit au téléphone. J-J’peux pas y aller, je suis en pleine réunions. Rappel-moi dès que tu as des- BIP
Troisième message.
BORDEL MAIS DÉCROCHE À LA FIN ! Fais pas le con, j’ai sérieusement besoins que tu aille le voir ! je m’inquiète Sun.
Son cœur sembla s’arrêter, fixant intensément l’écran noir qui était devant lui. L’hôpital. Urgence. Ce n’était certainement pas pour un bras cassé. La nouvelle eue pour effet d’une douche froide, réveillant ses réflexes, augmentant le rythme de son cœur. Trop rapide. Il se redressa rapidement, laissant son ancienne petite amie couler contre le plancher de bois. Il empoigna sa veste de cuire avant de s’élancer promptement dans les escaliers. C’était urgent. Ses pas résonnaient dans le silence inhabituel de la ville, son souffle douloureux se coupait chaque fois qu’il imaginait un nouveau scénario. Il arriva finalement a destination, bousculant pas mégarde une vieille femme sans même prendre le temps de s’excuser. Pas le temps pour la politesse. Le blanc de l’établissement aveugla rageusement ses pauvres yeux, tournant sur lui-même à la recherche d’une aide, d’une information, d’un gamin sur une chaise d’attente. Rien. Il perdait complètement la carte, ne sachant plus s’il criait ou s’il chuchotait à la dame derrière le comptoir. Rien. Rien à foutre de leurs demandes. Rien à faire de patienter, il avait besoins de le voir, de savoir comment il allait, s’il dormait, de voir ses yeux haineux se poser contre lui. De le voir vivant. Sa paume se fracassa contre la vitre de l’administration, faisant ainsi sursauter la femme – probablement une stagiaire- qui poussa un léger cris de surprise. Il pivota rapidement, recherchant le couloir des urgences, avant de courir dans celui-ci. Chaque porte ouvrait sur quelqu’un d’inconnu, avant qu’il ne trouve finalement une chambre plus vivante que les autres. Pourquoi couraient-ils tous, pourquoi criaient-ils tous ? Sans perdre une seconde, il accourut en direction de la chambre, posant ses mains contre la vitre de sa chambre. De sa chambre. Des larmes perlaient déjà le coin de ses yeux, roulant rapidement contre ses joues. La vie s’arrêta. La terre s’immobilisa. Devait-il vraiment le perdre une deuxième fois ? Pourquoi avait-il autant de tube sur lui, pourquoi avait-il besoins d’une putin de machine respiratoire ? Son nom s’échappa a plusieurs reprise de ses lèvres, entrecoupé de sanglot. Regardez tous la fillette qui pleur. Regardez tous l’homme qui perd la raison, qui cri et qui s’effondre devant tout le monde. Qu’on emporte dans une autre pièce. À qui l’on demande de se calmer, qu’ils n’ont pas besoins d’une autre urgence. Qui tombe contre le carrelage froid et dur. Qui garde les yeux ouvert, n’empêchant pas les larmes de couler tandis qu’il est déjà loin. Trop loin.
Je t’aime. Reste, je t’aime
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Les heures passaient, les jours coulaient, les nuits mourraient. Bientôt une semaine sans avoir aucun moment d’espoir. À se faire dire que le temps c’est de l’argent, que bientôt ils devraient décider s’ils le laissaient en vie ou non. Encore pire, il n’était pas comprit dans les personnes qui avait droit de décider. Il avait dut se retenir, ne pas frapper le médecin a plusieurs reprise. La première fois – lorsqu’il lui avait fait comprendre que c’était un suicide. Mensonge. La deuxième fois lorsqu’il avait voulut qu’il rentre chez lui. Incohérence. La troisième fois fut lorsqu’il émit la possibilité qu’il ne survivrait pas. Que c’était une perte de temps. Connard, tu me manque. Il avait mal, intérieurement et physiquement. Il était resté depuis le début, ne partant à peine 30 minutes simplement pour se laver. Il se redressa doucement, grimaçant de douleur. Son dos lui faisait mal et pourtant il ne fit aucune remarque à Sohan. Il ne demanda pas non plus une chaise plus confortable. Tout ce qui importait, c’était sa main qui tenait la sienne, ses doigts qui caressait sa tempes. Ses lèvres qui se posaient contre ses paupières.
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| | | | Hwang Hee Jae
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| | Sujet: Re: take it like a man. Mer 27 Mai - 9:02 | |
| Le vide se dissipait. Le noir restait, mais la sensation apaisante de n’être plus rien – de flotter, d’être au dessus, elle, s’effaçait en douceur. Elle coulait. Il revenait doucement, sans vraiment comprendre – qui, quoi, où, comment. Quand. C’était douloureux de redescendre. De revenir. Physiquement, moralement. Une paupière trembla, pour abandonner aussitôt. Une main tenait la sienne, et c’était à peu prêt tout ce qu’il arrivait à enregistrer pour le moment. Et, sans son consentement, son corps se battait. Seul. Usait des petites forces qu’il n’avait pas mais qu’il puisait jusqu’à la dernière goutte. Sa main se resserra doucement contre celle qui tenait la sienne. Ses sens revenaient. En douceur. Il pouvait sentir son odeur. Ou, par automatisme, la reconnaître. Et ce fut probablement ce qui lui redonna des forces. Ses paupières tremblèrent de nouveau et son emprise sur sa main se resserra, bien que légèrement. Il nota vaguement une trace humide le long de sa propre tempe – une larme. Ses lèvres tremblèrent et, finalement, il ouvrit les yeux. En douceur. Perdu, il fixait le vide. La fenêtre, dont le rideau était inutilement grand ouvert, laissant voir le temps gris à l’extérieur. Il fixait. Réalisant finalement au bout de quelques secondes que sa tête était posée contre un oreiller, de sorte que son visage soit face à cette dite fenêtre. Il cligna des yeux, prenant conscience d’un corps – d’un autre homme qui lui tenait la main. Il tourna finalement la tête, pour cette fois fixer le plafond. Ses paupières étaient lourdes. Drôlement lourdes. Son regard se posa finalement vers le jeune homme – Sun. Sa tête était baissée. Ses deux mains étaient contre la sienne. Il ne dormait pas. Il en était déjà certains. Il ne voyait son visage que de profil, mais la fatigue se lisait sur ses traits. La fatigue, l’auto-destruction, la tristesse. Et il ne voyait pas – il n’avait visiblement pas encore remarqué. Une larme coula de nouveau le long de sa tempe, laissant une marque plus foncée sur l’oreiller blanche. Il avait tenu sa promesse, au fond. Il était là. Il n’y avait personne d’autre. Et la première personne sur laquelle se posaient ses yeux, c’était lui. Maintenant, c’était lui. Au final, il ne l’avait pas laissé tomber. Il ne l’avait jamais laissé tomber. Il était au rendez-vous, avec quelques années de retard. C’est tout.
Sa main libre se souleva doucement, alors qu’il remarquait enfin tous les tubes – les fils, les machines rattachées à lui. Il tira le bras vers le visage de l’autre. Prudemment. Sa main se posa contre sa joue, caressant sa tempe. Remarquant automatiquement la surprise sur son visage. Il referma les yeux. C’était tout ce dont il avait besoin, pensa-t-il. Le sentir prêt de lui. Il avait ouvert les yeux pour le retrouver au chevet de son lit. Il n’avait plus besoin de voir ce qui l’entourait. Plus besoin de voir tout court. Il resserra sa main contre la sienne, avec plus de force cette fois. Il était là. Ils étaient bien là, tous les deux. Il entrouvrit les lèvres, pour les refermer aussitôt, tremblantes. Le masque qu’il portait se bua de nouveau, laissant rapidement se dissiper la buée pour une nouvelle, alors qu’il réalisait à quel point c’était difficile de parler comme ça. Il laissa ses doigts s’échapper de la peau du plus vieux, les posant contre le masque, se contre-fichant totalement d’avoir le droit ou de ne pas avoir le droit. Il tira sur le masque, le glissant vers le bas, inspirant difficilement par le nez.
Il ouvrit les yeux et posa son regard dans celui de l’autre. Un regard réellement désolé. Les larmes roulaient, chaudes, lourdes de regrets contre ses joues, s’échouant doucement contre le tissus.
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| | | | Kang YongSun
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| | Sujet: Re: take it like a man. Mer 27 Mai - 17:45 | |
| Sun inspira doucement, les yeux fixer contre le coin opposé de la salle. Que faisait-il ? Rien, qu’attendait-il ? Rien. Depuis maintenant deux heures, sa seule occupation se résumait a fermer les paupières dès que ses yeux devenait trop sec. Il ne soupirait plus, ne parlait plus, il était tout simplement complètement déconnecté de ce monde, déconnecté de son corps. Plus rien n’importait en fait, il tentait simplement de trouver quelque chose, un simple petit souvenir, imaginer sa voix, sa main glisser contre sa peau. Contre sa peau. Une larme coula le long de sa joue, remarquant finalement que son imagination n’était pas assez puissante pour ça. Il redressa rapidement son visage, posant ses yeux humides – complètement mouillés – sur le gamin, observant chacun de ses gestes, observant ce petit corps se battre pour vivre, pour rester, juste pour être là. « Mianhae ». Non, non il n’avait pas à se, pas maintenant. Ses larmes redoublèrent, posa un peu trop nerveusement ses mains contre son visage, encadrant tendrement celui-ci, posant ses lèvres contre les siennes, embrassant chaque parcelle de son visage. Son cœur se gonflait d’espoir, écoutant simplement ce qu’il voulait entendre depuis le début. La vie était beaucoup plus belle. La vie méritait ses sourires, ses rires, ses baisés. Son nom s’échappa douloureusement de ses lèvres, coupé par ses sanglots incontrôlables, mélanger à quelque « Je t’aime ». Il posa son front contre le sien, caressant la peau froide de ses joues. Il ne le perdrait pas, il resterait pour lui. Il l’aimait suffisamment pour survivre, pour subsister. Un léger sourire se dessina – bien qu’avec difficulté – sur son visage, ses larmes se mêlant au sienne. Il était si beau, si beau.
Tu as une semaine de retard mon ange, ma petite canaille.
Un petit rire résonna dans la salle, étouffé par ses lèvres se posant contre les siennes, il faisait référence à son ultimatum stupide. Personne n’avait effacé la magie sur leur tableau, encore là pour continuer de le remplir. Sa main glissa contre son bras, grimaçant à chaque tube qu’il rencontrait, prenant délicatement sa main, entremêlant ses doigts aux siens. C’était si bon. Il lui semblait qu’un poids énorme s’échappait de son corps, s’évaporant loin, très loin. Il ouvrit doucement les yeux, observant avec bonheur ses paupières bouger. Dieu avait finalement entendu ses prières, ses demandes. Il l’avait assez supplié pour qu’il lui accorde cette faveur. Personne ne partirait, plus jamais il ne le quitterait. Jamais. Il chuchota doucement son prénom, pressant ses lèvres ensembles, coupant un nouveau sanglot, le laissant mourir à l’intérieur de sa gorge. Il avait assez pleuré, il devait sourire. Miracle, je t’aime. Il tira doucement contre sa main, la posant contre son torse, simplement pour lui faire sentir ses battements de cœur, irrégulier. Fort, très fort et très lent. Un nouveau rire nerveux s’échappa de ses lèvres, les émotions étaient beaucoup trop confuses. Autant avait-il envie de le frapper, de l’embrasser, de caresser sa peau, de lui crier sa peine, sa souffrance. Il savait aussi que bientôt il devrait appeler quelqu’un, leur indiquer que Hee c’était réveillé. Leur montrer avec fierté que son petit bonhomme était beaucoup plus fort qu’il ne le croyait. Que son gamin c’était battue depuis le début. Que son homme l’aimait. Il l’embrassa délicatement une nouvelle fois, laissant quelque pleures se pointer au coin de ses yeux.
Qu’est-ce qui t’as pris Hee ? T’as pas le droit de me faire des choses comme ça. Ce n’est pas permis.
Ses paroles ressemblaient beaucoup plus a des questions qu’à des reproches. Il était beaucoup trop heureux pour ça, pour que sa voix soit dure et ferme. Non, elle restait douce, simple et tendre. | |
| | | | Hwang Hee Jae
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| | Sujet: Re: take it like a man. Mer 27 Mai - 22:49 | |
| Il garda les yeux fermés. L’aimait-il réellement ? Cette simple idée retournait son monde, faisait battre son cœur un peu plus rapidement, faisait trembler ses paupières encore une fois. Créait une boule au creux de son estomac, nouait ses poumons et lui donnait du mal à respirer. La lumière des néons blancs de la chambre était trop forte pour ses yeux. Il sentit une larme se mélanger aux siennes, puis plusieurs. Les siennes. L’horizon, elle, il la rejoignait. A petite nage. Mais il la rejoignait. Tu as une semaine de retard, mon ange. Il sourit intérieurement à l’ironie de cette phrase. Juste comme il y avait pensé quelques secondes plus tôt. Il tourna faiblement la tête et posa ses lèvres contre la paume de sa main. Ses lèvres contre les siennes. Il avait presque oublié à quel point elles étaient douces. A quel point c’était le paradis – une petite mélodie inventée qui jouait chaque fois qu’il le touchait. Il n’avait pas réellement la force de bouger, pas non plus la force de respirer correctement. Après avoir été aidé artificiellement à respirer pendant plus d’une semaine, après tout, c’était… une semaine ? Ses paupières clignèrent, une fois, deux fois, papillonnant contre la joue du plus vieux. C’était confus. Il avait l’impression d’être parti seulement une heure ou deux, alors que plusieurs nuits s’étaient déjà écoulées. Il inspira difficilement et laissa ses doigts glisser à la surface de son torse, contre le vêtement, pour mettre sa paume à plat contre son cœur. Il referma les yeux. Il ne savait plus s’il devait les garder ouvert ou fermés. Il ne savait plus s’il devait respirer de lui-même ou s’il n’en était pas capable. Il ne savait plus s’il devait bouger, parler. Il ne savait plus ce qu’il devait regarder. Il resserra ses doigts contre le vêtement du plus vieux. Sa main se glissa lentement vers le haut, jusqu'à sa nuque. Du moins, il présumait. Il le tira doucement, sans grande force, puisqu’il ne la possédait de toute façon pas. Il se tourna un peu de coté, du mieux qu’il le pouvait avec son bras pratiquement enchainé aux machines qui l’avaient tenu en vie. Puis il tira sur son vêtement, laissant une petite place dans le lit. Petite, mais suffisamment grande pour qu’il le rejoigne. Il ouvrit les yeux, le suppliant presque du regard. Lorsqu’il sentit le lit peser un peu et son corps se glisser contre le siens, il posa sa tête contre son torse, glissant sa jambe entre les siennes pour s’accrocher et ses doigts se refermant de nouveau contre le vêtement, juste pour s’accrocher un peu mieux à lui. Ses yeux se refermèrent et une larme vint s’imprimer contre le dit vêtement. Il n’avait besoin de rien d’autre. Il ne voyait que pour le voir lui. Il ne respirait que pour le sentir, son odeur, le savoir prêt de lui. Il ne touchait que pour poser ses doigts contre sa peau. Il ne parlait que pour lui exprimer ce qu’il ressentait. Il ne ressentait la faim que pour pouvoir le savourer un peu mieux, et c’était une soif de lui. Et son cœur, lui, ne battait que pour lui. Uniquement pour lui. Et c’était la mort elle-même qui l’avait renvoyé, pour le ramener à lui. Parce que la vie, elle, était faite ainsi. Eux. C’était ça, la vie. Il pinça les lèvres.
Ce n’était pas précis. Pas du tout. Plus. C’était la seule réponse qu’il arrivait à formuler pour l’instant. La boule qui se formait dans sa gorge prenait trop de place. L’oxygène lui manquait un peu trop. Il ne savait pas vraiment comment former les mots, comment les placers. Quel ordre, quel sens. Quels mots. Un soubresaut traversa son corps, un sanglot silencieux. Ses dents se refermèrent contre le tissus qu’il tenait entre ses doigts. Frustration ou tristesse. Il ne savait plus trop. Il savait tout simplement que c’était injuste. Qu’il avait envie de retourner dans le passé. De tout changer, seulement pour que rien ne se passe comme ça. Pour que tout reste comme c’était – comme ça se devait de l’être. Il relâcha son emprise et colla son nez contre son torse, ravalant difficilement sa salive. Douloureux. Sa main se glissa contre sa côte, ré-agrippant le vêtement. Il redressa la tête, son nez glissant doucement contre la peau de son cou. Dieu qu’il aimait cet homme. Ses lèvres effleurèrent sa peau, qu’il mordilla à défaut de ne pas savoir comment s’exprimer, comment agir, comment réagir. Ce poids, qu’il portait sur ses minces épaules, ne voulait pas s’envoler totalement. Il le titillait, pour peser de plus belle contre lui. Le comprimer, l’empêcher de respirer. De savourer totalement. La confusion s’éprenait de lui, mais pourtant, il l’aimait. Plus que tout. Plus que sa propre vie. Parce qu’après tout, si sa vie ne servait à absolument rien, elle n’appartenait qu’à lui.
Plus qu’une semaine. Des mois. Des années de retard. Des siècles. Des.
Tiens moi. Restes avec moi – s’il te plaît. Pitié. Arrête. Ne pars plus.
Rien. Sans toi.
Restes.
Son poing se posa contre son torse, frappant doucement contre ce dernier. Il étouffa un nouveau sanglot contre sa peau. | |
| | | | Kang YongSun
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| | Sujet: Re: take it like a man. Jeu 28 Mai - 23:19 | |
| Doucement, il se glissa contre lui, prenant place dans le petit lit. Il lui semblait qu’il n’avait même pas besoins de se forcer à y aller doucement. Tout se faisais naturellement, de toute manière, il n’avait pas suffisamment d’énergie pour être le moindrement brusque. Il l’avait dépensé complètement au courant de la semaine écoulé, résistant toujours à rester éveillé, au cas où. Simplement au cas où il se réveillait, maintenant que c’était fait, la fatigue tombait littéralement sur son corps. Rester, simplement encore un peu réveiller. Simplement pour le voir encore, lui et ses yeux, lui et ses mouvements. Son cœur se serra tandis qu’il voyait combien il lui était difficile de parler, de s’exprimer. Il hocha doucement la tête tandis que de nouvelles larmes s’échappaient contre la peau de ses joues, glissant ses doigts contre ses tempes, déviant ceux-ci jusqu’à ses paupières pour qu’il ferme les yeux.
Plus jamais.
Il posa tendrement ses lèvres contre son front, entourant ses frêles épaules de ses bras, le serrant un peu plus contre lui. Un long frisson parcourut son corps, pinçant les lèvres alors qu’il écoutait les sanglots du plus jeune. Toujours plus près, toujours là, toujours plus fort pour rester. Pour qu’il reste lui aussi. Parce qu’ils étaient la plus belle histoire, la plus belle histoire jamais vécue. Il resta interdit, regardant doucement son visage, caressant sans cesse sa tête, fermant finalement les yeux. Ne plus partir. Non, il resterait jusqu’à la fin, à leur fin. Parce que c’était ça non ? L’un ne pouvait pas vivre sans l’autre, alors l’autre ne pouvait pas mourir sans l’un. C’était exactement pourquoi il se trouvait ici. Pas seulement dans l’hôpital mais à Jeju, pourquoi aussi il n’avait pas mit fin à ses jours, il y avait de cela maintenant cinq ans. C’était bientôt le temps, de tout dire. Il le savait, le ressentait. Pas maintenant mais très bientôt. Ils avaient une vie à construire ensemble, à vivre ensemble, à rire et à s’aimer. Un fin sourire se dessina sur ses lèvres, glissant sa main jusqu’à son menton, redressant lentement son visage, ouvrant les yeux.
Plus jamais. Je vais bien devoir veiller à ce que mon p’tit bonhomme n’enseigne pas de mauvaise chose à nos enfants.
Nos enfants. Oui, parce qu’ils en auraient deux. Une petite fille pour que Hee s’amuse, un petit garçon pour jouer les durs. Des enfants à aimer, des enfants qui les aimes. Des enfants qui courent autant que son homme. Qui font du bricolage et qui dénonce lorsque Hee dessine lui-même sur les murs. Des enfants pour vivre un peu plus. Il posa doucement ses lèvres contre les siennes, l’attirant encore un peu plus contre lui. Jamais assez près, toujours trop loin, même dans ce petit lit. Il colla sa tête contre son front, fermant de nouveaux les yeux. Ils devaient tout deux se reposer et surtout parce que Hee ne dormirait certainement pas tant que lui resterait éveillé. Il le berça doucement, fredonnant une petite berceuse pour l’endormir, pour qu’il se repose, caressant son dos du bout des doigts.
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| | | | Hwang Hee Jae
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| | Sujet: Re: take it like a man. Ven 29 Mai - 0:57 | |
| Un sourire dessina finalement ses lèvres à la Remarque du plus vieux. Il était son bonhomme, juste à lui. Il enfouit son visage contre son t-shirt et resserra ses doigts, fermant les yeux. Il aurait pu mourir maintenant, dans ses bras, que tout aurait été parfait pour lui. Mais une autre part de lui – un autre point de vue naissait. Cette part lui disait qu’il voulait rester en vie. Qu’il voulait voir le monde avec lui, rester pour avoir le temps de faire tout ce qu’ils n’avaient pas eut le temps de faire encore. Des enfants, qui courent un peu partout. Sun ferait un père magnifique, il en était certains. Cette idée faisait gonfler son cœur, une fois de plus. Épuisé, il n’ajouta pas un mot. De toute façon, ils avaient tous deux besoin de repos. Même s’il était resté une semaine dans ce lit, il avait l’impression de ne pas avoir dormit un mois de temps. Et ça ne prendrait pas de temps, ca aussi, il le savait. Il glissa sa jambe entre celles de Sun, recherchant un peu plus de proximité. Juste pour être totalement contre lui. La fatigue pesa finalement sur ses épaules. Et le noir revint, mais cette fois, pour une raison totalement différente. Le noir, cette fois, était accompagné de couleurs bien plus joyeuses. De rêves infinis. Son emprise sur le plus vieux se relâcha d’elle-même, alors qu’il retrouvait le sommeil, la tête enfouie dans le cou de l’autre.
Il courrait, pour il ne savait quelle raison. Non, il y avait un monstre qui courrait. Un monstre ou un meurtrier qui courrait derrière lui, le poursuivait. Et il était soudainement sur le toit d’un immeuble, confronté au vide. La joie était partie, et il ne comprenait pas. Mais il préférait mourir comme ça, que de mourir tué par un monstre. Alors il sauta. Et il atterri… dans le lit. En sursaut, il ouvrit les yeux. Ronds comme des billes. Il avait resserré ses doigts contre le tissus de son t-shirt et était totalement figé. Son cœur battait trop rapidement. Il souffla finalement lorsqu’il réalisa que ce n’était qu’un cauchemar ridicule, refermant les yeux un instant pour se calmer. Il soupira et leva doucement la main contre son œil, le frottant délicatement, chassant la fatigue du réveil. Il redressa la tête pour regarder l’autre. Il était toujours endormi. Un mince sourire étira ses lèvres, alors qu’il l’observait. Il posa ses lèvres contre sa joue, puis contre sa paupière, embrassant délicatement chaque parcelle de peau qu’il rencontrait au passage. Il baissa la tête et chercha le poignet de l’autre des yeux. Il plongea sa main sous le drap – léger – et attrapa son poignet en douceur, pour ne pas le réveiller. Voilà, une montre. Sur la petite horloge – et il dut tourner la tête dans un angle très particulier pour la lire – il y était noté minuit. Minuit et vingt minutes. Il écarquilla les yeux en sentant l’autre bouger. Il avait l’air ridicule, à moitié redressé, la tête penché au maximum vers le coté et les fesses redressées. Il resta immobile quelques secondes avant de redresser la tête, pour croiser le regard amusé de l’autre. Il fronça les sourcils et afficha une moue, laissant sa tête retomber contre le torse de l’autre. Un « Muh. » boudeur s’échappa d’entre ses lèvres. | |
| | | | Kang YongSun
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| | Sujet: Re: take it like a man. Ven 29 Mai - 2:48 | |
| Malgré le petit espace dont ils avaient droit, il lui sembla qu’il n’avait jamais été aussi bien. Il n’était pas tout à fait endormit, se réveillant pratiquement toute les heures, la peur au ventre. C’était stupide mais chaque fois il avait peur de se réveiller seul, de voir qu’il serait maintenant, le seul à se réveiller. Pourtant non, le gamin restait bel et bien en vie. Il ouvrit lentement un œil, observant ce que son petit homme pouvait bien faire à cette heure là. Il avait dormit un long moment mais ce n’était pas assez suffisant. Du moins, peut-être aussi était-il beaucoup trop protecteur, peut-être que finalement cette mésaventure l’avait beaucoup trop effrayé. Un fin sourire se dessina sur ses lèvres, entourant ses bras autours de sa taille, l’attirant fermement contre lui. Petite racaille. C’était évident que maintenant il ne voudrait plus dormir. Sans un mot, il posa sa main contre son menton, relevant doucement son visage, déposant ses lèvres contre les siennes, mordillant légèrement la peau qui s’offrait à lui. Il glissa sa main contre son dos, ses reins, ses hanches, s’immisçant sous le chandail du plus jeune. Ses doigts parcouraient délicatement sa peau, réchauffée par la proximité de leurs corps depuis quelques heures maintenant. Il longea doucement la colonne de son dos, redescendant vers le sud, glissant contre son flanc. Il ouvrit doucement les yeux, son sourire toujours présent sur le visage.
Son autre main se posa contre ses yeux, le forçant simplement à les fermer. Il avait une petite idée du comment il réussirait à lui donner envie de dormir. Enfin, ce qui en résulterait à la fin l’envie de se reposer. Il le devait, Hee devait dormir, jusqu’au lendemain matin. Ou il pourrait enfin se lever et aller à la cafétéria – Avec son aide bien sur, manger quelque chose pour l’aider à se rétablir. De toute façon, même si c’en était une nécessité, ce n’était pas vraiment quelque chose qui lui apparaissait comme une tâche. Il aimait même beaucoup l’idée, de le faire maintenant et ici. Qui plus es, cela faisait maintenant une semaine qu’il n’avait pas vue cette expression si précise du moment où Hee perdait complètement la carte, le nord. Qu’il se laissait perdre dans une si belle confusion. Son sourire devint légèrement plus grand, une petite lueur de malice assombrissant les iris de ses yeux. Il posa ses lèvres contre les siennes, laissant sa main vaguer jusqu’à l’élastique de ses pantalons – Son pyjama Batman – jouant distraitement contre celui-ci. Il entra doucement ses doigts sous le tissus, laissant son pousse à l’extérieur, caressant vaguement la peau douce de ses fesses. Il mordilla à nouveau sa lèvre inferieur, pensant simplement à se soupir précis qu’il voulait entendre.
Il glissa doucement sa main contre sa hanche, longeant le tour de sa taille avant de retirer ses doigts et de remonter contre son petit torse, caressant ses épaules, sa nuque. Ses lèvres s’amusant doucement à définir la fine ligne de sa mâchoire, son oreille, laissant son souffle chaud parcourir sa peau. Il pressa doucement son bassin contre le sien. Oui, juste comme ça. Seulement pour l’inciter à en vouloir plus, à en demander encore un peu. Il jouait complètement avec le feu, espérant simplement qu’après tout ce temps sombré dans les limbes, le corps de Hee répondrait rapidement à ses caresses. Il savait parfaitement que le sien, après quelque pensé osé, manifestait un intérêt complet. Ce n’était pas simplement parce qu’il n’avait pas été actif sexuellement pendant une semaine complète, c’était surtout le fait de voir qu’il pouvait encore sentir son corps contre le sien. Que la dernière nuit qu’ils avaient passé ensemble n’avait pas été réellement la dernière. Il pourrait encore entendre ses sons si subjectifs, sentir sa peau chaude, nue contre la sienne. Ses yeux noirs parce qu’il le désirerait tout autant que lui. Il glissa à nouveau sa main à l’intérieur de son vêtement, cette fois complètement, sa paume profitant agréablement de la galbe parfaite de ses fesses. Seigneur. Son corps répondait plus que parfaitement. Il grimaça doucement, pensant finalement que l’idée n’était peut-être pas aussi bonne que prévu. Peut-importe, Hee n’irait pas là ou il en avait envie. En fait, Hee ne ferait rien, parce qu'il devait impérativement dormir. | |
| | | | Hwang Hee Jae
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| | Sujet: Re: take it like a man. Ven 29 Mai - 5:08 | |
| Il redressa la tête lorsqu’il posa ses doigts sous son menton, l’air presque questionné. Puis il referma les yeux, profitant de ses lèvres – douces. De ses caresses – tendres. Il laissa un « hmm. » d’appréciation en sentant sa main se glisser contre ses hanches, sans vraiment vouloir tourner ce signe en quelque chose d’autre. Il appréciait seulement ses caresses, ses lèvres, ses… mains. Il ouvrit légèrement les yeux en sentant ses doigts se glisser sous l’élastique de son pyjama. Il se demanda d’abord si son geste n’avait pas été involontaire. Mais lorsqu’il sentit les caresses un peu plus poussées, son cœur sauta un bond. Pas parce qu’il ne voulait pas, pas parce qu’il avait peur. Parce que c’était Sun – c’était lui qui le touchait, c’était lui qui avait posé ses mains sur lui. Et même si ça ne signifiait rien, il aimait. Il aimait tout ce que l’autre avait à lui donner. Il acceptait tout ce qu’il voulait. Ses yeux se refermèrent et il cambra légèrement la tête pour lui laisser l’accès à sa gorge, sa mâchoire qu’il s’amusait à tracer. Un frisson le traversa lorsqu’il pressa son bassin contre le siens. Puis, il réalisa finalement qu’il était faible face à lui. Il ne savait pas si c’était l’amour. Mais il savait que, n’importe où, n’importe quand – il le désirait. Entièrement, totalement. Dans tous les sens du mots. Mentalement, physiquement. Il posa sa main contre ses côtes, descendant jusqu’à ses hanches, maintenant la pression qu’il exerçait contre son bassin. Il mordilla la peau de son cou lorsque sa main se glissa entièrement dans le pantalon de son pyjama, épousant parfaitement la forme de ses fesses. Sa jambe se glissa un peu mieux entre les siennes, sa cuisse s’appuyant entre ses jambes, son corps réagissant automatiquement. Sa peau était déjà brûlante. Brûlante d’un désir naissant. Un nouveau désir. Plus fort cette fois. Parce que c’était lui – c’était son homme, et il n’avait pas tout perdu. Il mordilla la peau de son cou et murmura son prénom, un peu comme une supplique. Qu’il arrête maintenant, ou qu’il continue. Il ne savait pas trop ce qu’il voulait, en fait. Mais ce qu’il savait, c’était que sa main, elle, allait parfaitement bien où elle était.
Il passa la pointe de sa langue contre sa pomme d’adam et respira son odeur, s’enivrant un peu plus de lui chaque seconde. Sa main se glissa sous son t-shirt, se posant directement contre sa hanche, qu’il caressa délicatement du bout du pouce. Sa main se glissa vers l’avant, le bout de ses doigts détaillant ses muscles, sa bouche se refermant sur un bout de chair dans son cou, qu’il mordilla, pour finalement suçoter jusqu’à ce qu’une marque plus rougie apparaisse. Il redressa un peu le menton, jusqu’à ce que ses lèvres rejoigne son oreille. La pointe de sa langue se glissa doucement contre le lobe, son souffle chaud parcourant celle-ci. Ses lèvres se posèrent totalement contre son oreille et, ses dents, arrivées à destinations, mordillèrent délicatement la chair, rencontrant la boucle d’oreille qui s’y trouvait. Il n’avait pas prit le temps de remarquer ce détail. En même temps, il n’avait pas pu le voir de la même façon. Cette boucle d’oreille n’était pas là avant. Sa langue se glissa dessus, signe subtile d’appréciation. Il souffla de nouveau dans celle-ci avant de retrouver la naissance de sa mâchoire, au creux de son oreille. Il mordilla la peau, la marquant une nouvelle fois. Ses lèvres, légèrement tremblantes, retracèrent la ligne qu’elle formait. Beaucoup plus carrée qu’elle l’était avant. Les yeux fermés, il s’en rappellait. Il n’avait pas oublié les petits détails. Aucuns. Parce qu’il le connaissait par cœur, avant. Et qu’il avait l’impression de toujours le connaître par cœur. Il dévia son chemin, ses lèvres se posant à présent contre sa gorge. Il se redressa un peu, jusqu’à être un peu plus haut que lui, de façon à pouvoir rejoindre sa nuque. Il n’avait pas découvert cette partie de lui encore. Il voulait le connaître par cœur. Savoir. Goûter. Toucher. Comprendre tout. Il souffla contre sa nuque et déposa un baiser tout prêt de ses cheveux. Puis il se laissa glisser de nouveau contre le matelas, ses coudes un peu trop faibles pour le soutenir correctement. Il tira un peu sur son t-shirt, rabaissant son collet. Un peu plus de peau s’offrait à lui. Il recommença le même manège, explorant ses épaules, les os plus prononcés au niveau de son collet. Puis il s’affaissa un peu, sa tête retrouvant son torse, sa main courant sur son bras pour revenir à son emplacement – contre sa hanche. Il pressa un peu plus son bassin contre le siens, bougeant légèrement, recherchant en même temps un contact plus concret de la main qui ne bougeait presque pas. Il appuya sa cuisse entre ses jambes, un peu plus. En même temps pour la pression, en même temps pour lui donner plus d’accès. Lui montrer qu’il avait envie de cette main. Un peu plus fort, un peu plus loin, un peu plus là où il en avait envie. Mais il réalisait parfaitement que, lui, ne pouvait faire quelque chose. Ou pas de trop poussé. Il n’en avait pas la force. Et de toute façon… ils étaient dans un hôpital. C’était restreint. | |
| | | | Kang YongSun
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| | Sujet: Re: take it like a man. Sam 30 Mai - 7:48 | |
| Seigneur, oui son corps répondait. Ses yeux se fermaient doucement alors qu’il sentait à nouveau ses mains se poser – de cette façon la- contre son corps. Il en avait presque oublié a quel point c’était bon, c’était bien. Ses doigts se pressèrent un peu plus contre ses fesses, posant ses lèvres un peu trop hâtivement contre les siennes. Il s’excitait tout simplement. Il lui avait tellement manqué, tellement trop manqué. Il mordilla doucement la peau de sa mâchoire, réalisant finalement à quel point il avait besoin de lui pour bouger. N’avait-il pas passé la semaine complètement immobile, à simplement attendre qu’il bouge simplement un doigt. Frustré, il ramena doucement sa main jusqu'à ses reins, le pressant fortement contre lui. Plus fort, plus près … je t’aime. Ses lèvres parcouraient sa gorge, soupirant chaque fois qu’il touchait un des tubes contre ses mains, chaque fois que ses yeux rencontraient la machine qui enregistrait les battements de son cœur. Sa main glissa doucement, jusqu’à sa hanche, entrant de nouveau sous le tissu, atteignant pratiquement d’un seul coup l’endroit désiré. Il posa sa main contre son membre, glissant une fois contre celui-ci, deux fois, trois fois. Juste assez pour le titiller, juste assez pour qu’il en demande encore. Juste assez pour qu’il en veule lui-même plus. Damnation. Il caressa doucement sa cuisse, ses fesses, écartelant celle-ci afin de presser légèrement contre son intimité, remontant doucement pour sortir à nouveau. Contrôle, il savait parfaitement le faire. Il l’avait fait tant de fois, se contrôler. Pourtant, chaque fois ça devenait beaucoup plus difficile, il ne s’habituait pas. Il ne faisait que désirer d’avantage. Leur dernière nuit – incompréhensiblement – n’était pas suffisante pour le calmer un temps soit peu. Sa main se posa doucement contre son épaule, le forçant à se coucher contre le dos. Il se redressa sur un coude, lui montrant qu’il ne devrait plus bouger. Le suppliant finalement des yeux, de ne plus bouger. Il devait garder contrôle sur la situation, en tout temps. Son visage face au sien, il resta un instant à le regarder, entrant sa main sous son t-shirt, jouant doucement contre l’un des petit rond de chaire. Il posa délicatement le bout de son nez contre celui du gamin, frôlant à peine sa peau, fermant les yeux. Je t’aime.
Il posa ses lèvres contre les siennes, appréciant le simple fait d’embrasser encore une fois le gamin. Tendrement, amoureusement. Il n’y avait probablement rien de mieux. Le sexe c’était bien, mais ses lèvres elles, c’était si parfait. La façon dont elles s’accordaient aux siennes. Sa main longea lentement son ventre avant de retrouver sa place initial. Du bout des doigts, il dessina le contour de son membre, dans une tendresse infini. Dans son crâne, la même phrase se répétait, mémorisant chaque pause, chaque ton qu’il avait décelé dans sa voix. Son cœur se gonfla, souriant finalement alors qu’il y repensait. C’était la première chose qu’il avait dit, après une semaine de silence, c’était la première chose qu’il avait eu envie de lui dire. Le bout de son nez dessinait doucement ses lèvres, remontant pour l’embrasser de nouveau. Il ne s’en lasserait jamais. Il entra une nouvelle fois sa main à l’intérieur de son pyjama, titillant le bout de son membre avec son doigts, ouvrant les yeux pour le regarder. Il rallongeait ce qui à la base était un stratagème pour l’endormir, il le savait. Pourtant il ne s’en sentait pas le moindrement coupable. Ses yeux croisèrent finalement la porte, remarquant finalement qu’ils étaient loin d’être complètement seuls. Bien sure, il y avait souvent eu Sohan avec eux dans la maison. Mais Sohan n’aurait pas prit la chance d’entrer lorsque la porte était fermé. Même quand y repensant, ce n’était surement pas la porte fermé qui lui indiquait de rester en bas. Ils n’étaient surement pas les gens les plus discrets. Le rouge vint colorer ses joues, quelqu’un pourrait entrer. Quelqu’un qui innocemment viendrait vérifier si tout allait bien. Il remarqua à peine que sa main c’était activé toute seule contre Hee, allant de plus en plus vite. C’était si excitant ? Il posa doucement ses lèvres contre son menton, dévorant – pas dans le sens littérale – le cou du plus jeune, pointant le bout de sa langue par moment. Son geste devint moins rapide, craignant finalement qu’il succombe trop vite, resserrant son emprise quelque seconde. | |
| | | | Hwang Hee Jae
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| | Sujet: Re: take it like a man. Sam 30 Mai - 8:41 | |
| Il mordilla l’intérieur de sa joue, passant ensuite sa langue contre ses lèvres en le sentant appuyer un peu plus fort contre ses reins. Il cambra de nouveau la tête, se laissant totalement aller dans les caresses du plus vieux – ses lèvres, ses mains, son odeur, chaque battement de paupière contre sa peau. Chaque petit geste, chaque effleurement du bout de ses doigts le faisait frissonner. Son souffle se coupa lorsqu’il empoigna son membre, laissant un halètement s’échapper d’entre ses lèvres, ses joues rougissant automatiquement. Il ne comprenait pas – ne savait vraiment pas ce qui lui prenait. Mais, dans tous les cas, il ne s’en plaignait pas. Pas du tout. Sauf – une petite plainte s’échappa d’entre ses lèvres lorsqu’il retira sa main. Une violente vague le traversa lorsqu’il caressa ses cuisses, se dirigeant ensuite vers ses fesses et – une nouvelle plainte. Un juron s’échappa de ses lèvres, à faible voix. Parce que merde, c’était impossible de s’exciter si rapidement. Parce que putain, il avait trop envie de lui. Il se laissa tourner sur le dos, ouvrant finalement les yeux, croisant le regard suppliant de l’autre. Il pinça les lèvres et hocha imperceptiblement la tête, plus pour lui-même que pour Sun. Contrôle. Ils devaient garder le contrôle. Ou plutôt, lui, il devait garder le contrôle. Ils savaient maintenant parfaitement, tous les deux, ce que ça faisait lorsque c’était Hee qui avait le contrôle. Contrôle qu’il n’arrivait pas à garder. Il dut mordre sa langue en sentant sa main tracer son excitation, qui augmentait un peu plus chaque fois qu’il le touchait. Son cœur s’accéléra un peu trop rapidement lorsqu’il traça le bout de son membre, sa main agrippant automatiquement son bras, ses ongles s’enfonçant dans sa peau. Lui qui avait froid un peu plus tôt – il faisait soudainement beaucoup plus chaud. Il laissa finalement s’échapper un soupire lorsque sa main s’accéléra contre lui, sa poigne se desserrant contre son bras, sa main venant automatiquement se poser contre le lit. Parce qu’il ne savait pas réellement quoi faire, où mettre ses mains, comment réagir. Il ne savait pas ce dont il avait le droit, jusqu’où il pouvait aller. Qu’est-ce qu’il avait le droit de faire sans que Sun ne se fâche. Qu’est-ce qu’il lui permettait. Et cette idée, profondément, fit sonner une cloche en lui. C’était la première fois qu’il se laissait complètement faire, sans combattre pour le contrôle, sans contrer les gestes du plus vieux. Sur la machine, son cœur affichait un battement beaucoup plus rapide. Nouvel halètement lorsqu’il resserra son emprise contre son membre. En effet, ç’avait été tout prêt de la fin. Il ouvrit finalement les yeux, étourdit, pour croiser le regard du plus vieux.
Le rouge lui monta automatiquement aux joues, et si la main de l’autre n’était pas dans son pantalon, il aurait probablement pensé que tout son sang se concentrait dans ses joues. Sa main se posa contre le torse du plus vieux, sur lequel il donna un petit coup, tournant finalement la tête pour l’enfouir contre le corps de l’autre. Ses yeux se fermèrent.
Le regard de l’autre le gênait. Pas juste sur son corps en général – le fait qu’il puisse observer chacune de ses réactions, les connaître un peu mieux grâce à cette – foutue – machine et tout ce qui s’en suivait. Il se sentait totalement ridicule, comme ça, à ne rien faire. Il ravala sa salive et reposa sa tête contre l’oreiller, observant l’autre quelques secondes. Une vague de désir passa son corps une fois de plus et il ferma maladroitement les yeux, tentant de contrôler ce qui surpassait présentement son corps, ses sens. Il glissa sa main contre le torse de l’autre, ouvrant de nouveau les yeux, plantant son regard dans le siens. Sa main se glissa vers le sud, jusqu’à sa ceinture, qu’il passa sans cérémonie. Il tâta le pantalon du plus vieux, la bosse proéminente dans celui-ci. Il resserra légèrement sa main et murmura un « Tu… », sans réellement savoir la suite de sa propre phrase. En fait, il se demandait plutôt ce qu’il devait faire, ce qu’ils allaient faire. Il avait l’impression de repartir à zéro. Après ce qui s’était passé, il devait faire attention. Etre prudent. | |
| | | | Kang YongSun
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| | Sujet: Re: take it like a man. Sam 30 Mai - 23:56 | |
| Ses lèvres se posèrent contre sa tempe alors que le gamin enfouissait sa tête contre son torse. Ne pas le regarder comme ça, c’était plutôt difficile. La seule pensée de le voir réveillé capturait totalement son attention, alors le voir réagir – de cette façon là- c’était le summum de ses désirs. Sa main se glissa hors du pantalon, ramenant le petit drap contre eux, un peu plus haut, immobilisant son geste alors que le gamin posait sa main contre son entre-jambe. Là ou c’était de plus en plus serré. Il ferma doucement les yeux, ça commençait à poser problème. Il soupira doucement, glissant sa main jusqu’au pantalon de Hee, tirant lentement contre celui-ci, libérant finalement le membre du gamin. Sa main se posa d’elle-même contre la boucle de ceinture, s’empressant de déboucler tout ce qui devenait littéralement étouffant. Ses doigts s’aventurèrent rapidement contre le membre du plus jeune, posant sa bouche contre la sienne, mordillant sa lèvre inferieur, déviant celle-ci sous son menton. Dieu qu’il avait envie de lui, maintenant, juste là. Sa main se resserra simplement contre son entre-jambe, posant son autre main contre l’épaule du gamin, le forçant finalement à pivoter. Sa main vint se poser contre sa hanche, attirant Hee fermement contre lui, pressant – d’un mouvement lascif- son bassin contre les fesses du plus jeune, posant son front contre la nuque de celui-ci. Respirer, inspirer. Rester zen et garder le contrôle, ne pas être trop. Nouveau coup de bassin, nouveau soupire.
Ses lèvres parcouraient sans ménage la peau de sa nuque, recherchant quelque seconde une nouvelle distraction. Il glissa finalement sa main contre son propre pantalon, le baissant légèrement, juste assez pour découvrir son membre, haletant alors qu’il sentait finalement la peau de ses fesses contre son entre-jambe. Il resta un instant interdit, tentant de reprendre son souffle excité par ce simple contacte de peau. C’était le retour en arrière, il avait l’impression de recommencé. Les situations étaient différente par contre, il ne se retenait pas parce qu’il ne voulait pas être seulement un coup. Mais parce qu’ils étaient dans un endroit publique et que Hee n’était pas assez rétablit pour en faire autant. Il déposa doucement ses lèvres contre sa nuque, répétant avec précaution le même mouvement de bassin, son membre glissant doucement entre ses fesses. Damn. Il ferma rapidement les yeux, fort. Rien n’allait plus comme il avait prévu, comme il avait anticipé. C’était sa faute, il était si beau, si désirable. Sa main glissa contre sa hanche rejoignant finalement le membre du gamin, débutant un lent va et viens. Soupirant car son geste manquait de précision, son esprit étant complètement préoccupé par son membre glissant contre ses fesses, par le fait qu’ils devaient rester le plus subtile possible. Enfin, aussi possible que deux hommes se donnant plaisir, pouvaient faire. Il mordilla doucement la peau de sa nuque, alors que – dans un mouvement plus prononcé- son membre vint se butter exactement là ou il n’aurait pas dut. Haletant, il pressa a peine contre le petit anneau de chaire, les muscles de son ventre se contractant alors qu’il devait se contenir. Respire. Inspire, expire. Son front se posa contre son épaule, sa main s’activant un peu plus rageusement, plus rapidement contre le gamin. Il en avait complètement assez, complètement rien a foutre que quelqu’un passe. Parce qu’il ne s’empêcherait pas de bouger frénétiquement sa main, parce qu’il ne s’empêcherai encore moins de bouger contre lui.
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| | | | Hwang Hee Jae
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| | Sujet: Re: take it like a man. Dim 31 Mai - 0:52 | |
| Ses dents se serrèrent contre sa propre langue lorsqu’il senti le plus vieux baisser son pantalon, mordillant celle-ci pour ne faire aucun bruit. Il se laissa pivoter, simplement trop perdu pour résister, trop perdu dans les caresses de l’autre pour vraiment comprendre ce qu’il faisait – ce qui se passait. Il étouffa un gémissement contre l’oreiller en sentant le membre de l’autre glisser contre sa peau, ses sens l’abandonnant finalement. Sa main se glissa sous l’oreiller, l’autre agrippant cette dernière par-dessus. Il haleta en le sentant se glisser entre ses fesses, ses dents se plantant directement dans l’oreiller cette fois. Sa main se desserra lorsqu’il posa sa main contre sa hanche, déviant vers son membre qu’il avait délaissé quelques secondes. Il glissa ses doigts contre son poignet, sa main légèrement tremblante et déjà moite, caressant distraitement celui-ci. Mais ses caresses ne furent pas bien longues, le coup suivant lui faisant perdre le nord. Ses ongles s’enfoncèrent dans la peau du plus vieux, sa tête se cambra légèrement. Douloureux. C’était douloureux tellement il en avait envie. Et ça aurait pu être tellement facile – il y était, là. Il n’avait qu’à – un peu plus fort, un peu plus loin. Il ne put s’empêcher de se presser contre lui, son bassin remplaçant le mouvement coupé qu’il avait effectué, le bout de son membre se pressant un peu plus fort contre son intimité. Pas assez pour pénétrer – de toute façon, il n’y avait rien qui lui permettait réellement de le faire. Mais juste assez pour le rendre totalement fou, une petite larme roulant le long de sa joue. Il resta immobile un long moment, son torse se levant au rythme de son souffle saccadé, ses ongles toujours ancrés dans la peau du plus vieux et sa tête toujours cambrée, appuyée contre celle de l’autre. Il pouvait sentir son souffle courir contre la peau de son épaule, sa main se resserrer, s’activer un peu plus rapidement. Les muscles de son ventre se contractèrent rageusement et son souffle s’accéléra lui aussi. La petite boule habituelle se formait trop rapidement au bas de son ventre. Mais c’était si bon. Il agrippa soudainement la main de l’autre, l’arrêtant brusquement, resserrant son emprise et fermant les yeux – forts. Il sentit son membre pulser de rage entre ses doigts, empêchant subitement l’orgasme qui venait de faire surface maintenant. Il dut attendre quelques secondes avant de finalement desserrer son emprise, entremêlant ses doigts aux siens, glissant sa main – qu’il tenait toujours dans la sienne – contre son ventre. Il voulait attendre, encore un peu. Leurs mains se posèrent au bas de son ventre et ses doigts caressèrent en douceur les doigts de l’autre, déjà légèrement humides, cause de son excitation – qu’il n’avait pas eut à travailler très longtemps, au final.
Sa main quitta la sienne, se glissant vers l’arrière pour aller rejoindre le bassin du plus vieux. Il releva doucement la jambe, son genou touchant la barre du matela, juste pour lui donner un peu plus d’accès à ce qu’il ne devait justement pas faire, et l’attira de nouveau contre lui. Un long soupire s’échappa de ses narines, à défaut d’avoir les lèvres bien serrées l’une contre l’autre. Il voulait entendre sa voix. Entendre le déraillement dans sa voix, le désir qu’elle portait, toute basse contre son oreille. Il voulait savoir. Il voulait. Sa main revint se poser contre la sienne, la tenant plus doucement alors que la pointe de sa langue glissait contre sa lèvre inférieure.
Il resserra son emprise sur la main de l’autre, ses ongles venant à nouveau se loger dans sa peau. Il bougea légèrement le bassin, juste de la bonne façon, le sentant glisser contre l’anneau de muscle.
Dis moi ce qui te passes par la tête – ce que tu vois, ce que tu ressens… dis moi. Tout. | |
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| | Sujet: Re: take it like a man. Dim 31 Mai - 2:50 | |
| Son dos se cambra brusquement, recherchant finalement à ce que le touché soit plus intense. Il pouvait parfaitement sentir le petit anneau résister, se contracter alors qu’il se pressait un peu plus contre lui. Un petit grognement, à peine audible se fit entendre, mordillant le lobe de son oreille, suçotant finalement celui-ci. Il faisait tout les temps, tantôt frustré par la proximité de leurs corps, tantôt suppliant d’en avoir plus. Sa main se referma contre son ventre, écoutant simplement la voix essoufflé du gamin. Son membre se pressa de nouveau contre son intimité, un peu plus fort cette fois, juste pour se torturer un peu plus. Parce que c’était bon, parce que c’était mal. Il planta ses dents dans le creux de son épaule, étouffant un gémissement. Il lui murmura quelques paroles, incohérente, pressant toujours un peu plus, jusqu’au moment ou il sentit l’anneau se relaxer, ouvrant les yeux rapidement alors que son membre forçait un peu plus la barrière. Ce fut bref, il dut dévier son mouvement, glissant jusqu’à la verge du gamin. Ça aurait été douloureux, vraiment très douloureux s’il n’avait pas réagis. Il posa ses lèvres contre sa nuque, la couvrant de baisé. Il n’avait pas voulut, il avait tout simplement été trop loin. Son bassin mouvait doucement contre lui, son membre bougeant finalement contre celui de Hee. Tentation. Les yeux clos, sa main descendit vers le sud, prenant leurs membres dans sa main, effectuant un mouvement de va et viens lent.
Tu sais ce dont j’aurais envie ? De te prendre, maintenant. D’aller un peu plus loin. Toujours plus loin.
Sa paume glissa doucement contre sa peau, délaissant son propre désir, entamant des gestes plus précis, plus rapide. Il bougea lentement le bas de son corps, réalisant à quel point la situation recelait du ‘déjà-vu‘. Les règles étaient de retours sans pour autant être les bienvenues. Il soupira contre sa nuque, laissant son souffle chaud et impatient parcourir sa peau, fermant les yeux alors qu’une scène bien précise s’installait à son esprit.
Ta peau est tellement douce et chaude. Si désirable. T’es jambes enroulé contre mes hanches, tu t’agrippe à moi, comme si ta vie en dépendait. Parce que tu aimes. Tu aime ma main longeant ton dos, tes fesses. Nous sommes dans la douche – Non ! contre la rampe de l’escalier. Sohan est partit, et .
Sa main glissait toujours très lentement, arrêtant par moment. Il n’avait finalement pas envie qu’il vienne maintenant. C’était trop rapide, pas assez bien. Son membre glissait toujours tout près du sien, l’attrapant par moment, se donnant quelque fois lui-même plaisir. Donnant par moment des coups un peu plus fort, se buttant encore une fois là ou il ne fallait pas. Là ou c’était bon. Il pointa le bout de sa langue contre le lobe de son oreille, glissant contre son cou. Il avait chaud, terriblement chaud.
Nous sommes seuls, toujours contre la rampe. Si je te lâche tu tombe, alors il faut que tu sois contre moi, le plus près possible. C’est bon, c’est tellement bon.
Au même moment, il fit un peu plus pression contre son intimité, sentant à nouveau la barrière s’élargir un peu plus. Sa main glissa contre son ventre, son torse, caressant du bout des doigts ses lèvres, entant doucement pour toucher sa langue. Juste un peu, allant finalement retrouver l’endroit interdit. Il le titillait complètement, lui demandant s’il le voulait, s’il le voulait vraiment. Sa voix était rauque, sauvage et provocante. Comment ce gamin pouvait-il le rendre ainsi ? Il pressa lentement contre l’anneau, entrant lentement, par centimètre.
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| | | | Hwang Hee Jae
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| | Sujet: Re: take it like a man. Dim 31 Mai - 3:46 | |
| Ses doigts se refermèrent dans sa propre paume, sa tête toujours cambrée, un gémissement silencieux s’étouffant au creux de sa gorge. Il l’avait senti passer – presque, il l’avait senti forcer ses muscles – presque, il l’avait senti. Peut-être un peu trop, juste assez pour que ça ne soit pas assez. Douloureux, mais pas vraiment. Douloureux parce qu’il était si prêt de ce qu’il avait envie, mais si loin en même temps. Il dut reprendre son souffle, fermer les yeux, pencher la tête vers l’avant. Mais Sun n’avait pas fini son manège. Pas encore. Dès l’instant où les mots s’échappèrent de ses lèvres – ou le souffle chaud du plus vieux s’évada contre son oreille, il se sentir défaillir, tomber, rien de doux cette fois. Ses yeux se fermèrent alors que plusieurs vagues d’excitations traversaient son corps en entier, trop fortes pour le laisser indifférent. Trop fortes tout simplement. Il frissonna. Une fois de plus. La scène s’installait dans sa tête, la langue du plus vieux contre son cou faisant rouler ses yeux sous ses paupières tremblantes, cambrant la tête contre l’oreiller – juste pour le laisser le torturer un peu plus, le toucher un peu plus. Un peu plus d’accès. Voilà, ils y étaient. Ses mots se perdaient en image. Plus prêt, oui, juste comme ça. Il s’accrochait à lui, parce que dans tous les sens du terme, sa vie dépendait réellement de lui. Il mordilla maladroitement le bout de son doigt, réalisant à peine quelques secondes plus tard qu’il s’était introduit entre ses lèvres. Sa langue glissa délicatement contre le doigt, et lorsqu’il se retira, laissant un goût salé contre celle-ci, il pinça de nouveau les lèvres. Etre silencieux, ne pas attirer l’attention. Ils viendraient certainement vérifier d’une minute à l’autre. Il le savait. Pourtant – il haleta en sentant son doigt titiller son intimité. S’il le voulait. S’il le voulait vraiment. Oui, oui – Il ne réalisa même pas qu’il murmurait son approbation. Ne réalisa même pas à quel point ses chuchotements sonnaient désespérés. Un gémissement s’échappa finalement d’entre ses lèvres lorsqu’il sentit son doigt entrer – lentement, trop lentement. Mais c’était si délicieux. Si bon. Il ne savait plus comment se placer – où mettre ses mains, comment positionner sa tête, où s’agripper, quoi dire, comment se retenir. Il ne savait même pas s’il se rappelait de son propre nom – c’état simple.
Il cambra volontairement le dos, légèrement, appuyant son bassin contre sa main, tentant d’enfoncer lui-même le doigt un peu plus profondément. Il ne savait pas comment il arrivait à faire tout ça. Comment, seulement avec des mots, des petits touchers, il arrivait à le rendre comme ça. Un mélange de pensées incohérentes, une petite boule de fantasme. C’est ça. Il devenait une petite boule de fantasmes. Qui grossissait chaque fois. Chaque fois. La jointure du plus vieux toucha finalement sa peau, le laissant haletant, désirant, et totalement ; complètement excité. Sa main glissa le long de son propre torse, jusqu'au bas de son ventre. Ses ongles griffèrent délicatement sa propre peau. Mais, sincèrement, il ne remarqua même pas. Il s’en fichait totalement. On aurait pu le mutiler que tout ce qui comptait – là, présentement, c’était ce qui se passait ici. En bas, juste là. Il bougea le bassin un peu, lui indiquant silencieusement qu’il voulait qu’il bouge. Sa main se glissa vers l’arrière, aggripant la tête du plus vieux, l’approchant un peu plus. S’il avait eut plus de cheveux, probablement qu’il serait en train de les arracher en ce moment. Il tourna la tête, par-dessus son épaule, le regardant au travers de paupières à demi closes. Il dut étirer la tête un peu, le haut de son corps se tournant un peu, mais ses lèvres se posèrent contre les siennes. Comme s’il ne l’avait pas embrassé depuis des siècles, comme s’il en avait besoin. Il en avait besoin. Il mordilla sa lèvre inférieure et glissa la pointe de sa langue contre celle-ci, avant de la glisser contre la sienne. Il mordilla délicatement sa langue avant de se retirer, les yeux toujours fermés, les lèvres pincées, son souffle rapide, la tête toujours tournée vers son visage. Il caressa la chevelure de l’autre avant de laisser sa main se glisser contre sa nuque, contre son cou, jusqu’à ce qu’il ne puisse aller plus loin. Sa main se posa finalement contre le drap et il ouvrit les yeux, fixant l’autre.
Et dis-moi… comment tu me prendras.
Sa langue glissa de nouveau contre la lèvre du plus vieux, recherchant juste un peu plus ce goût particulier – le siens. | |
| | | | Kang YongSun
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| | Sujet: Re: take it like a man. Dim 31 Mai - 5:28 | |
| Un sourire se dessina sur ses lèvres, bougeant lentement son doigts en lui, cherchant toujours à aller plus profond. Ce qui était – savait-il – impossible à faire. Ses lèvres touchèrent les siennes, profitant doucement de cette opportunité, fermant les yeux alors qu’il caressait du mieux qu’il pouvait sa peau. Il pressa involontairement le bout de son gland, tout près de son doigt, roulant la tête contre l’oreiller. C’était trop pour lui, trop pour Hee, trop pour eux. Ils n’arriveraient a rien, apparemment plus aucun des deux n’avaient la force nécessaire pour garder le contrôle. Il retira lentement son doigt, pratiquement jusqu’au bout, le poussant finalement plus rapidement, débutant un certain rythme. Pas trop vite, pas trop lent, juste constant. Qu’adviendrait-il des prochaines fois ? Comment réussirait-il à retarder le moment. Il soupira, repliant lentement son index à l’intérieur de Hee. Frustration, il ne comprendra pas pourquoi il ne pourrons aller jusqu’au bout. Il serait fâché contre lui, il le savait. Il posa ses lèvres contre l’épaule du gamin, mordillant sa peau, faute de ne pouvoir faire ce qu’il avait réellement envie.
Lentement, pour que tu sentes tout, exactement tout. Chaque centimètre, chaque pulsation. Aussi lentement qu’il le faudra, pour que t’es ongles entre dans ma peau, pour que tu soit complètement ailleurs, mais encore avec moi. Juste assez pour que tu sache, que tu comprennes ce que c’est. Comment c’est, de me sentir bouger en toi, entièrement en toi.
Sun glissa son bras sous le cou du plus jeune, posant sa main contre son torse, jouant distraitement avec l’un de ses tétons, le pinçant, le frôlant du bout des doigts. Son index bougeait toujours à l’intérieur, recherchant le même point que Hee avait trouvé en lui. Celui qui rendait la chose si merveilleuse, si intense. Il bougea doucement le bassin, mouvement c’étant fait seul, désespérant finalement de ne pouvoir le sentir. Être à l’intérieur, ou simplement sa main bougeant contre son membre, peu importait. Un long frisson parcourut son corps alors qu’il sentait la peau du gamin contre son entre-jambe. Démentiel. Il soupira doucement, continuant tout simplement de lui indiquer chaque mouvement qu’il lui ferait, qu’il lui infligerait. Complètement perdu dans ce délire de fantasme, d’imagination. Coupé brusquement par une porte s’ouvrant. Il arrêta tout mouvement, lui indiquant de se taire. Quelqu’un entrait. La machine ! La putin de saloperie de machine avait dut alerter quelqu’un. Le rouge s’installa sur ses joues, voulant disparaitre dans le lit. Une voix résonna dans la pièce – « Est-ce que tout va bien ? ». Bien sure que tout allait bien. Tout était bon, la vie était rose et les oiseaux chantaient. Nerveusement il releva la tête, les yeux ronds, le souffle coupé. Devait-il répondre, devait-il mentir et dire que le gamin … dormait ? Bien sure qu’il ne dormait pas, il le sentait encore bouger, cambrer le dos, recherchant cette proximité un peu plus fortement.
Ou-Oui, Mm Tout. TOUT va très bien merci... vous pouvez. Partir, C’est gentil.
Sa tête retomba lourdement contre l’oreiller, écoutant le refus de l’infirmier. Parfait, ils avaient précisément besoins d’un petit stagiaire, complètement intéressé à faire son travail comme il faut, comme un grand. En attendant, il y avait quelque chose de grand sous les couvertures, qui ne demandait que ça, faire son travail comme il faut. Une plainte s’échappa de ses lèvres alors qu’il enfouissait sa tête un peu plus sous la nuque du plus jeune, sentant les larmes au seuil de la porte. « Monsieur Hwang, je suis inquiet sur vôtre état. Êtes-vous nerveux ? Voulez-vous que votre … amis quitte la chambre ? Personnellement j’aimerais effectuer quelque test de routine. Vôtre cœur bat beaucoup trop rapidement pour quelqu’un qui sort à peine du coma ! ». Quitter la chambre ? Lui ? Parce qu’un mini muscle en habit blanc croyait qu’il perturbait le plus jeune ? Parce qu’un petit con gloussait à la simple vue de son homme ? Fronçant les sourcils, Sun se redressa brusquement, bougeant toute fois son index encore une fois. Le corps de Hee devint soudainement plus raide, voyant les muscles de son cou se contracter. Il avait trouvé. Un fin sourire se dessina sur ses lèvres, haussant un sourcil.
Tout va très bien. | |
| | | | Hwang Hee Jae
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| | Sujet: Re: take it like a man. Dim 31 Mai - 6:42 | |
| Nouveau gémissement. Son cœur sauta un bond, accélérant de plus belle alors qu’il écoutait attentivement les mots du plus vieux – les ressentant jusqu’à la moelle. Une fine couche de sueur perlait à la surface de sa peau, rendant les vêtements particulièrement désagréable. Le drap aussi, il voulait l’enlever, tout simplement. Respirer un peu d’air frais. Mais en même temps, il s’en fichait tellement. Continuer, continuer. Qu’il n’arrête jamais. Il vivait dans un monde de fantasmes, totalement. Tellement qu’il ne réalisa pas lorsque la porte s’ouvrit. Les yeux toujours fermés, il respirait fort, les lèvres entrouvertes, haletant, murmurant des mots incohérents. Puis… Sun lui fit signe de se taire. Il ouvrit les yeux, confus. Son regard se posa automatiquement vers l’infirmier. Il écarquilla les yeux, plaquant automatiquement son corps contre celui de l’autre, saisit. « Tout va bien ? » Il entrouvrit les lèvres, mais se rappella bien rapidement qu’aucun mot ne pouvait sortir d’entre ses lèvres sans être déformé. Surtout lorsque Sun se redressa et que son doigt s’enfonça – juste à la bonne place. Tous les muscles de son corps se raidirent, de nouveau saisit, cette fois par la vague de plaisir qui l’animait. Dégages, vas t’en. Non. Ses muscles se contractèrent contre le doigt du plus vieux, alors qu’il continuait de lui infliger cette torture. Il avait du mal à garder les yeux ouverts, à regarder l’infirmier tout simplement. Rouge, rouge de gêne. Mais en même temps, c’était – c’était trop. Ses yeux se fermèrent d’eux-mêmes, ses lèvres se pinçant de plus belle. Mais il fut ramené à la réalité bien brusquement lorsque des pas résonnèrent – plus fort. L’infirmier était dans la chambre, et lorsqu’il ouvrit les yeux, il se tenait tout prêt du lit, l’observant avec un intérêt tout particulier. Il lui adressa un sourire, un peu trop tendre à son goût. Il ne voyait absolument pas ce que son état pouvait causer dans le genre de la tendresse qui apparaissait sur le visage de l’homme, pas même quelque chose de prêt de ce sentiment. La main de l’homme – il ne devait pas être très vieux en fait – se posa contre la barre de métal du lit dans lequel ils se trouvaient, et il se pencha tout prêt de lui. Ses yeux se fermèrent. Sun devait arrêter, maintenant, ou – la main de l’infirmier se posa d’abord contre son bras. Ses muscles se contractèrent de nouveau, et le doigt en lui décida de travailler avec plus de force son point sensible. Juste au mauvais moment, parce que les doigts de l’homme glissaient doucement contre son bras. Et peut-être que c’était son état, peut-être que c’était parce qu’il agonisait de plaisir présentement, mais lorsqu’il croisa le regard de l’homme, il eut l’impression de voir une lueur de désir – désir – traverser son regard. Des frissons coururent le long de sa nuque, désagréables, mais agréables à la fois. Il appuya son bassin contre la main du plus vieux, dans une ultime tentative de le faire arrêter – maintenant, tout de suite son mouvement. Mais lorsque son doigt revint en lui, que son ongle titilla la petite boule en lui, il se sentit perdre le nord. Ses yeux se fermèrent avec force, alors que l’inconnu posait sa main contre sa joue, contre son front, cherchant apparemment un signe de fièvre.
Le plus jeune haleta et se retourna brusquement, le doigt en lui le quittant automatiquement. Son corps se plaqua contre celui de l’autre et sa tête s’enfouit au creux de son cou – juste à temps. Il eut à peine le temps de sentir son membre se glisser sous le t-shirt du plus vieux, à peine le temps de sentir sa peau chaude, chaude. Ses dents s’enfoncèrent dans son épaule, fort, fort, alors que le premier jet de son plaisir s’échappait contre le plus vieux. Son bassin se plaqua un peu plus fort contre lui, son corps se raidissant de toute sa longueur alors qu’il retenait tout son pouvant s’échapper contre l’épaule de l’autre. Et finalement – après avoir trempé le vêtement du plus vieux, ses muscles se relâchèrent. L’infirmier, surpris, posa sa main contre sa nuque. Connard. « Monsieur Hwang ? Vous allez bien ? Voulez-vous que j’appelle la sécurité ? Si votre ami vous dérange, s’il n’a pas voulu partir, vous pouvez me - » Il frissonna au contact de la main froide contre sa nuque. Il soupira et se laissa retomber contre le lit, cligna des yeux plusieurs fois, serrant le drap contre son corps. Il fixa l’infirmier l’instant de quelques secondes, légèrement essoufflé.
Je vais. Très bien. Juste. Un cauchemar. C’est tout. Merci.
L’infirmier sembla tout de suite moins inquiet, un large sourire dessinant ses lèvres. Il passa sa main dans les cheveux du plus jeune et hocha la tête en compréhension. « Je vois. Si vous avez besoin de quoi que ce soit… je suis de service cette semaine, n’hésitez pas à sonner, je viendrai dès que possible. Ne vous inquiétez pas monsieur Hwang… vous êtes en sécurité ici. » Un clin d’œil avant de sortir de la chambre. Hee ferma finalement les yeux, posant sa main contre son front, remarquant à peine le regard meurtrier qu’il lança à Sun avant de refermer la porte derrière lui. | |
| | | | Kang YongSun
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| | Sujet: Re: take it like a man. Dim 31 Mai - 7:37 | |
| Son doigts bougeait de plus en plus à l’intérieur, titillant exactement là ou Hee semblait aimer, beaucoup plus que tout. C’était probablement une provocation, montré à ce foutu stagiaire qu’il resterait. Il était exactement là ou il devait être. Oh oui, il était exactement au bon endroit. Son sourire devint plus grand, sentant finalement le gamin complètement incapable de toute cohérence, appréciant le fait que Hee était présentement perdu, ailleurs, loin de l’infirmier qui – MAIS MERDE ! C’était quoi ça ? Ce n’était certainement pas médical, certainement pas a des fin professionnel qu’il posait sa main contre son bras. Il rêvait ou il était présentement entrain de caresser son bras ? Sa bouche s’entre-ouvrit, fronçant rageusement les sourcils, fusillant l’homme du regard. Une forte envie de le repousser montait en lui, ou plutôt, n’avait-il pas plus envie de le frapper ? Il portait à peine attention au gamin, aux sons qui s’échappait de ses lèvres alors qu’il passait sa rage en lui. Les yeux ronds, il regardait simplement cette main caresser la joue de Hee, qui invraisemblablement appréciait. Il en oubliait complètement ce qu’il faisait, remarquant simplement que le plus jeune ne lui disait simplement pas de partir, que tout allait bien. Son cœur fit un bon, surpris alors qu’il se retournait brusquement, posant sa main contre son dos, attirant le plus jeune contre lui, secouant négativement la tête alors que l’infirmier posait sa main contre sa nuque.
Non mais c’est quoi ce –
Il laissa sa phrase en suspend, ses yeux braquer contre cette main qui caressait tendrement sa nuque, la bouche ouverte alors que Hee se libérait contre son ventre. Ses muscles se contractant sous la surprise. Merde. Il était venue, justement au moment ou l’infirmier c’était mit a poser ses mains contre lui. Exactement au moment où il avait avancé sa tête un peu trop près de son visage. Il ne c’était pas retourner pour lui montrer qu’il était bien, qu’il avait tout ce dont il avait besoins, ici, juste à ses coté. Il c’était retourner pour cacher son orgasme, pour ne pas lui montrer que. Seigneur, c’était vraiment parce que ces touchés l’avaient excité ? Parce qu’au fond, Sun n’avait simplement que joué contre le point sensible tandis que Hee regardait l’homme aux muscles. Il n’était pas si beau quand même ! Si ? Il laissa sa tête retomber contre l’oreiller, les yeux ouvert, une aire complètement outré, mélangé à la frustration ainsi qu’à la jalousie. Il était blessé dans son orgueil. Que Hee trouve un autre homme attirant c’était une chose, qu’il vienne au moment ou un autre homme pose ses mains contre lui en était une autre. Il resta un instant interdit, incapable de dire un simple mot, attendant simplement que le stagiaire quitte la pièce. Son excitation semblait lentement se dissiper, avec raison tout de même. Pressant ses lèvres l’une contre l’autre, il soupira brusquement, lançant un regard noir sur le gamin. Il se redressa finalement, pestant contre l’homme tout en retirant son vêtement – sale puisque Hee avait. Seigneur. Il secoua simplement la tête, observant la porte avec intensivité. Il tenta simplement de se calmer, marmonnant des paroles totalement incompréhensible – J’aurais peut-être dut vous laisser seul ! - tellement il serrait les dents. Il baissa lamentablement la tête, ne sachant finalement pas ce qu’il devait ressentir. Il se tourna vers le gamin, les sourcils froncé.
C’était quoi ça ?
Voilà, c’était vraiment doux comme voix pour quelqu’un qui était en colère, ou irrité. Ou peut-être outré. C’était . Merde. | |
| | | | Hwang Hee Jae
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| | Sujet: Re: take it like a man. Dim 31 Mai - 8:15 | |
| Il ouvrit de nouveau les yeux en sentant le plus vieux bouger. Il tourna la tête, s’apprêtant à dire quelque chose, le sourire presque déjà aux lèvres. Mais non. Ce n’était pas ce qu’il avait imaginé. Loin de l’être. Le plus vieux se levait. Il était. Fâché. C’était cette expression là qui se lisait sur son visage. Il mordilla l’intérieur de sa joue, confus, indécis. Pourtant, Sun n’était pas du genre à se fâcher pour rien. Il y avait quelque chose. Il se redressa en douceur, de façon à s’asseoir dans le lit. Il baissa la tête en entendant les commentaires à voix basse de l’aîné, mais assez rageux pour qu’il puisse les entendre clairement. Peut-être trop clairement. Il glissa ses mains sous le drap, remonta son pantalon de pyjama et tira ses jambes contre son propre corps, n’osant pas lever la tête. En effet, comment avait-il pu penser que c’était amusant. Dans un scénario totalement contraire à celui là, c’était lui qui devait se fâcher – pas pour vrai – et le bouder – faussement. Il tira le drap, le ramenant par-dessus ses jambes. Finalement, l’autre parla, s’adressant plus directement à lui. « C’était quoi ça ? » Hee resta interdit. Il joua nerveusement du bout de ses doigts contre son propre bras, baissant la tête une fois de plus. Posant son regard vers la porte. Mordillant le coin de ses lèvres. Reposant son regard vers le plus vieux. Oui, en fait, c’était quoi ça ? Qu’est-ce qui venait de se passer ? Il ne comprenait pas. Pas vraiment. Ce n’était pas de sa faute si l’infirmier avait décidé de… puis ce n’était pas – il cligna des yeux, confus.
« Je ne sais pas. » Non, il ne le prenait pas pour un idiot. Mais non, il ne savait pas non plus quoi répondre. C’était lui, présentement, qui se sentait idiot. Totalement ridicule d’ailleurs. Il baissa la tête.
Je sais pas, je. C’est la machine qui. C’est l’auxiliaire qui me prend en charge. Il est venu se présenter plus tôt quand tu. Je sais pas, je me suis réveillé et t’étais plus là – t’étais à la toilette. Je crois. Il devait s’inquiéter et puis je. Il voulait être gentil j’imagine…
Il leva de nouveau la tête, pour croiser le regard du plus vieux. La chaleur qu’il avait ressenti un peu plus tôt se dissipa rapidement. C’était même plutôt froid maintenant, et un frisson désagréable le traversa lorsqu’il observa la colère de l’aîné. Peur. Avait-il réellement peur de lui ? Non, impossible. Pas de cet homme. Il était doux, aimant, aimable, attentionné, … pourtant. Même s’il avait parlé d’une voix douce, trop douce pour un homme en colère, cette colère venait le chercher. Profondément. Il tira finalement la main vers lui, hésitant. Il attrapa son poignet, le tirant un peu, avec toute la délicatesse du monde. Une lueur passa dans son regard, suppliante. Son autre main se posa contre son poignet, et il le tira un peu plus fort cette fois, jusqu’à ce qu’il se penche au moins vers lui. Cloué au lit, il ne pouvait faire mieux. Il posa sa main gauche contre sa joue, son front venant trouver le siens. Il ferma les yeux, alors qu’il faisait finalement un petit lien entre ses mots. Entre ce qui se venait de se passer et ce qui se passait présentement. Un soupire s’échappa d’entre ses lèvres.
Désolé… désolé. Ce n’est pas. C’était toi. Juste – toi. J’ai essayé de te faire signe. De te le montrer mais. Tu n’arrêtais pas. | |
| | | | Kang YongSun
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| | Sujet: Re: take it like a man. Lun 1 Juin - 4:05 | |
| Il soupira doucement, baissant lamentablement la tête, l’enfouissant au creux de son cou, tentant finalement de se cacher les yeux. Au fond ce n’était pas Hee qui devait se sentir stupide mais bien lui. Le gamin était bien des choses mais certainement pas ça. Il devait simplement rêver, il avait imaginé tout simplement que l’infirmier avait été l’achèvement finale de celui-ci. Pourtant, il n’avait certainement pas imaginé les yeux doux que celui-ci avait porté sur son petit bonhomme. Il aurait put facilement mettre sa main au feu que le jeune homme avait posé un regard haineux sur lui- juste après avoir fait un clin d’œil à Hee. Il ne fallait pas non plus oublier des deux fois ou il avait parler de lui faire quitter la chambre. Décidément, il ne laisserait certainement pas le gamin seul avec lui. Il hocha simplement la tête, accentuant ses pensés. Un nouveau soupire résonna dans la pièce, parcourant le torse de Hee. Il n’avait jamais vraiment été jaloux, enfin si quelque fois mais il avait toujours sut contrôler ça. Ses bras vint entourer le plus jeune, prenant finalement place contre le lit, l’attirant doucement contre lui.
Désolé. Je n’aime simplement pas qu’il te touche comme ça.
Sa main glissa contre sa joue, démontrant finalement le geste qu’il n’avait réellement pas apprécié. Le geste qu’il avait fait juste au moment ou Hee était venu. Peu importe ce qu’il dirait, cette image resterait gravé dans sa mémoire. Il associerait toujours cette caresse à ce moment. Ce n’était pas médical, ce n’était pas professionnel, c’était de cette façon que l’on touchait quelqu’un qui nous est cher, que l’on connait à un certain degré. C’était affectif, tendre. Il aurait parfaitement put lui demander de mettre un thermomètre sous la langue ou simplement regarder les foutues machines branché contre son corps pour savoir quelque chose. Toute les informations nécessaires y était inscrite, enregistré. Il voyait parfaitement que le gamin n’était pas mal ! Étrange et en sueur mais pas mal en point. Les yeux ronds, il réalisa finalement ce qu’il avait fait. Seigneur, c’était SA faute ! Doux-jésus, il avait mené à fin le plus jeune sous les yeux de quelqu’un d’autre ! Il se redressa complètement, posant ses mains contre ses joues, déposant rapidement plusieurs baisé contre son visage, s’excusant maladroitement alors que le rouge prenait à nouveau place sur sa peau. Il avait été complètement ridicule, stupide, horrible. Horriblement bon, horriblement bien – pensa t-il toute fois. Un bref fou rire s’empara de lui, fermant les yeux sous la gêne. Oh mon dieu, mais qui était-il ? Comment avait-il pu agir de la sorte ? Il ne pouvait toute fois pas s’empêcher de sourire, posant ses mains contre les épaules du gamin, se laissant retomber contre le petit lit, attirant Hee dans sa courte chute. D’une main il attrapa la couverture, la remontant contre leurs corps, glissant sa main jusqu’à son menton. Silencieusement il lui demanda de relever la tête, posant ses lèvres contre les siennes. C’était ignoble. Un nouveau petit rire s’échappa de ses lèvres, s’empressant de l’étouffer avec un nouveau baiser.
Désolé.
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| | Sujet: Re: take it like a man. Lun 1 Juin - 5:56 | |
| Il rougit furieusement lorsqu'il rigola. Malgré lui. Une moue s'afficha contre son visage et ses yeux se fermèrent doucement, alors qu'il tournait un peu plus la tête pour ne pas avoir à le regarder. C'était gênant, il n'y avait rien à ajouter sur ce point. Totalement gênant. Il pouvait encore sentir le ventre de l'autre se contracter contre sa peau - gênant. Comment il avait du mordre son épaule pour se retenir. Et tout ça, sous les yeux d'un parfait inconnu. Inconnu. Il soupira discrètement, écoutant d'une seule oreille les excuses du plus vieux. Il aurait pu arrêter. Il aurait pu se contrôler et même que - même qu'il aurait pu tout simplement frapper l'autre pour qu'il dégage, ç'aurait été bien moins gênant. Ironiquement. Il reposa sa tête contre l'oreiller et leva presque timidement la tête, son regard se posant vers celui du plus vieux. Il pinça les lèvres. Malgré tout, il ne pouvait dénier que ça avait été excitant. Dans un sens. Un sens particulier. C'était peut-être la montée d'adrénaline, ou quelque chose dans le genre. Au final, ils s'étaient bien fait avoir. Tous les deux. Il mordilla le coin de sa lèvre et recula un peu la tête, juste pour pouvoir l'observer mieux.
Ris pas. Je savais plus quoi faire, moi. Et puis - imagine si j'avais mouillé le drap... essaie d'expliquer ça aux infirmiers, après. Et puis ta réaction...
Il fronça les sourcils et retroussa la lèvre inférieure, tapant d'une faible force contre le torse de l'autre. Plus il y pensait, plus c'était gênant. Il était carrément venu sur lui. Sans aucun avertissement, sans - rien. Dans tous les sens du mot. Et ça, c'était tout l'effet qu'il avait sur lui.
J'ai cru que tu m'en voulais parce que j'ai...! Sur toi, sur ton ventre, sur ton -
Il rougit un peu plus et enfouit sa tête contre le torse de Sun, sa main venant automatiquement se glisser contre son visage, chassant toute trace de gêne qui rosissait ses pauvres joues. Il laissa passer plusieurs secondes avant de finalement redresser - de nouveau - la tête. Il le regardait toujours avec cet air faussement gêné, plus boudeur qu'autre chose. Mais il craqua, une lueur d'amusement passant dans son regard, ses lèvres s'étirant en douceur. Et un petit rire s'échappa d'entre ses lèvres, alors qu'il posait sa main devant sa bouche - comme à l'habitude. Lorsque son rire se calma enfin, un nouveau soupire traversa ses lèvres. Sa main se posa à plat contre son torse. Sa voix, elle, se fit plus basse. Comme s'il allait lui dire un secret. Comme s'il ne devait pas en parler. Normalement, il n'en parlerait pas. Parce que, normalement, ils n'en parlaient tout simplement pas. Ils ne mettaient pas de mots sur ce qui se passait dans leurs moments intimes, physiques. Il s'approcha de lui, son nez touchant à peine le siens.
Il posa un doux baiser contre son nez. Il référait évidemment à ce qui s'était passé il y avait quelques minutes déjà - lorsqu'il avait poussé, juste un peu plus fort. Parce qu'il le savait - ils l'avaient senti tous les deux. Il pinça les lèvres, préférant se taire. Sa main se glissa au bas de son ventre, franchissant la barrière des vêtements sans cérémonie. Une petite moue déçue fit son apparition sur son visage lorsqu'il constata que l'excitation de l'autre s'était envolée. | |
| | | | Kang YongSun
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| | Sujet: Re: take it like a man. Lun 1 Juin - 22:53 | |
| Doucement il ferma les yeux, répétant lentement la dernière phrase du gamin, sous forme de question. Il lui avait presque quoi ? Il posa doucement ses lèvres contre les siennes, c’était tout de même bon, que de pouvoir l’embrasser autant qu’il le voulait. Il resserra son étreinte, ouvrant finalement quelque peu ses yeux, il répéta doucement une nouvelle fois ses paroles, avant de finalement comprendre. Sun ferma rapidement les yeux, fort, très fort. Comme si cette action lui aurait valut une porte de sortie, une chance que le gamin oublie. Parce que ça aussi c’était gênant. Il l’avait presque oublié, ce moment ou il avait faillit. Faillit entrer en lui, sans rien, aucune préparation, aucun lubrifiant. Il marmonna doucement que ça n’avait pas été le but, délaissant son corps pour poser ses deux mains contre son visage. Il resta un instant ainsi, attendant simplement que le rouge quitte ses joues, son visage. Il y avait été un peu fort, un peu trop fort d’ailleurs. En même temps, c’était la faute du gamin, il était tellement. Il était si, désirable. Il reposa lentement ses mains contre lui, caressant tendrement la peau de ses bras. La tentation devenait beaucoup plus intense, rien à voir avec ce qu’ils avaient ressentit, dans les premier temps. Absolument rien avoir.
Tu. C’est, je. Tu me fais perdre le contrôle. Complètement.
Il risqua d’ouvrir un œil, baissant le regard afin de regarder le plus jeune. Il déposa à nouveau ses lèvres contre les siennes, ayant finalement trouvé comment se taire, et faire taire Hee. L’embrasser, aussi longtemps que nécessaire aussi longtemps que voulut. Un long frisson parcouru son corps, haussant les sourcils alors qu’une main se présentait contre son bas ventre, non, littéralement contre son membre. Nouvelle sensation de gêne, c’était tout de même affreux que de sentir sa main, juste là, alors qu’il était. Complètement au repose. Sa langue vint claquer a son palais, remarquant la moue déçut du plus jeune.
J’ai été Mm … perturbé. Oui bon, enfin. Je t’ai dis... que je n’aimais vraiment pas qu’il te touche comme ça.
Il racla simplement sa gorge, complètement humilié, enfouissant sa tête dans la chevelure du plus jeune. Il n’y avait rien de plus à ajouter, c’était le résulta obtenue après cette situation plutôt choquante et enrageante. Sur le moment, il voyait à la fois un homme touchant son amoureux, son amoureux se laissant toucher, son amoureux, venant pile au moment ou l’homme posait sa main contre son visage, le regard tendre. Il ne fallait tout de même pas espérer que cela le tiendrait actif. Son regard se posa contre l’horloge, calculant le temps qui restait avant que l’autre ne revienne, il proposerait sans doute une nouvelle fois à Hee s’il désirait qu’il quitte la salle ! Rêve pas trop connard ! Encore fallait-il qu’il règle certain point. Il fallait aussi qu’il trouve le moyen de changer d’auxiliaire. C’était bien les petite attention, mais il ne voulait pas craindre de perdre son petit Hee chaque fois qu’il serait le temps de prendre soins de lui ! Un long soupire se fit entendre, resserrant le plus jeune contre lui. Il n’aimait pas la sensation d’être jaloux, il n’aimait pas non plus se sentir comme – Comme une main qui – seigneur. Il ne recommençait pas ! Il n’était pas entrain de .
Hee !
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| | | | Hwang Hee Jae
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| | Sujet: Re: take it like a man. Mar 2 Juin - 2:38 | |
| Un sourire amusé se glissa contre ses lèvres à la réaction de l’autre – même s’il tentait de le cacher, même s’il ne voulait pas gêner l’autre. Ce n’était pas son intention, de toute façon. Puis, au fond, ça ne le dérangeait pas. Vraiment pas. Ce n’était pas comme s’il y avait quelque chose de gênant – pas de son point de vue, du moins. Quoi que, dans le cas contraire, c’est vrai qu’il aurait été gêné. Il posa ses lèvres contre les siennes pour le faire taire, murmurant un « Ssht » au passage. Il ne croyait certainement pas qu’il allait le laisser comme ça, non ? Il posa ses lèvres dans son cou et se rapprocha de lui, glissant sa jambe entre les siennes, pour la mêler aux siennes. Il referma doucement sa main contre le membre au repos et mordilla la peau de son cou. Il n’y avait aucune excuse à faire. Même pas sur ce qui s’était passé. S’il y en avait bien un des deux qui avait défaillit face au contrôle, c’était Hee. Ils n’étaient pas revenu sur le sujet de la dernière nuit – celle où il avait. Il se contenta de fermer les yeux pour ne plus y penser. Ce toucher l’avait manqué. Cette partie du corps de son homme, elle aussi, lui avait manqué. Aussi étrange ce sentiment venait faire dans l’amour qu’il lui portait. Il tira doucement sur la peau, son index glissant lentement contre le gland découvert, titillant – avec plaisir – ce dernier. Juste quelques secondes. Il retira sa main et le repoussa, pour qu’il se couche sur le dos, enjambant son corps pour s’asseoir au niveau de ses cuisses. Sa main revint se placer où elle était, retirant la ceinture pour la laisser retomber au sol, glissant sa main dans l’ouverture déjà créée un peu plus tôt, lorsqu’il avait baissé son pantalon. Il glissa la fermeture éclaire et dégagea un peu son pantalon, glissant sa main par-dessus son boxer, glissant ses doigts sous l’élastique pour finalement la poser de nouveau contre son membre. A l’aide de son poignet, il baissa doucement le sous-vêtement. Mais – non, il ne posa pas son regard contre son entrejambe. Valait mieux ne pas le gêner plus qu’il ne l’était. Ses lèvres se posèrent à la naissance de son cou, se glissant doucement contre son torse, rejoignant un des tétons qu’il mordilla délicatement. Dieu qu’il était beau. Parfait. Sa langue glissa lentement contre le bout de chair, l’encerclant, savourant silencieusement la peau légèrement salée du plus vieux. Son pouce, lui, caressait doucement son membre – qui prenait vie sous ses touchers. Il laissa un « hmm. » s’échapper d’entre ses lèvres à la première pulsation, redressant la tête, mordillant la gorge de l’aîné. Son autre main – la libre – se glissa contre son torse, rejoignant l’autre bout de chair, qu’il s’amusa à durcir du bout des doigts, le titillant presque amoureusement. Son index traça une veine contre son membre, se glissant jusqu’à son extrémité avant de le laisser de nouveau. Il le glissa contre ses propres lèvres, le posant contre sa langue, l’humidifiant un peu avant de retourner à sa tâche.
Son index glissa contre le bout de son membre, traçant les contours, laissant une trace humide sur son passage. Finalement, sa bouche se glissa vers le sud, jusqu’à son nombril. Sa langue s’y pointa discrètement, traçant des formes abstraites contre sa peau, laissant une trace humide – en forme de cœur – autour de son nombril. Mince sourire. Lorsqu’il arriva au bas de son ventre, ses lèvres tout prêt de son membre et qu’il glissa le sous-vêtement du plus vieux jusqu’en dessous de ses fesses, ce dernier était déjà, au moins, à moitié durcis. Son nez se glissa contre le membre, ses lèvres frôlant la peau à son passage. Il se contenta de se redresser un peu mieux pour retirer son pantalon, le sous-vêtement suivant très rapidement. Tant pis pour la subtilité. Il écarta légèrement ses jambes, se plaçant finalement entre celles-ci, cherchant une position plus confortable. Ses mains se posèrent contre ses hanches, les caressants à l’aide de ses pouces. Son regard se posa vers celui du plus vieux, alors qu’il baissa la tête – lentement, doucement, ne le lâchant pas du regard. Ses lèvres se posèrent contre son membre. Et à cet instant, il ferma les yeux, glissant sa langue contre sa peau. Très lentement. Juste assez pour qu’il la sente – pas assez pour lui causer suffisamment de plaisir. Sa main droite lâcha sa hanche, pour venir prendre le membre, qu’il sentit durcir un peu plus sous son toucher. Il posa un baiser à la base de ce dernier, l’observant avec une attention presque gênante. Une vague de chaleur traversa son corps alors que sa langue pointait à sa base, descendant un peu plus, juste un peu, retrouvant les attributs qu’il n’avait encore jamais explorés à sa base. Et puis, pourquoi pas. Sa langue glissa doucement contre la peau, ses lèvres se refermant doucement contre celles-ci, suçotant légèrement – il testait, apparemment. Lorsqu’il reçut une réaction positive, sa langue joua finalement avec plus d’assurance contre ce nouveau bout de peau. Sa main, elle, effectua un lent va contre son membre, sans revenir. Il ouvrit les yeux, observant les réactions du plus vieux. | |
| | | | Kang YongSun
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| | Sujet: Re: take it like a man. Mar 2 Juin - 4:35 | |
| Son sourire se dissipa de ses lèvres, papillonnant rapidement des paupières suite au geste du plus jeunes. Sa première réaction fut – bien entendu de pauser rapidement ses mains contres les barreaux du lit, se redressant légèrement. Il tentait de prendre la fuite ! Non qu’il n’appréciait pas, encore moins qu’il n’y voyait pas un plus dans la suite des évènements. Ce n’était pas ce qu’il avait prévu, il n’était pas supposé réveiller l’appétit sexuelle du gamin, mais plutôt d’endormir celui-ci. Une série de non, nerveux, résonna dans la pièce, finalement ce n’était pas lui qui perturbait le gamin mais bien le gamin qui le dérangeait lui ! Ses mains se resserrèrent contre le métal à sa disposition, fermant les yeux alors que des lèvres se glissaient en son torse. Délice, satisfacti- NON ! C’était loin d’être subtile et ce n’était certainement pas le genre de chose que – naturellement, on passait devant la chambre, on jetait un petit coup d’œil avant de repartir en souriant. Sa main quitta le barreau, se posant contre son épaule, tentant finalement de repousser le plus jeune, terminant par contre son intention de l’empêcher par une simple caresse. Sa tête tombant lourdement vers l’arrière alors que son doigt jouait obstinément contre son gland, en résultant un simple soupir de plaisir s’échapper de ses lèvres. Il resta interdit un instant, profitant finalement de ce que le plus jeune lui offrait. Ce fut son petit son qui l’interpella, le ramenant finalement sur le droit chemin. Son visage toujours cramoisi, il répéta de nouveau un non, bégayant son inquiétude d’être à nouveau interrompu. Heureusement pour eux, il n’y avait que Hee qui était en permanence surveillé, parce que son cœur à lui semblait près de la crise cardiaque.
Il va revenir, c’es-c’est complètement sûre et assuré qu’il va venir ! Hee !
Pourtant ça ne semblait pas suffisant pour l’arrêter, il continuait toujours, mordillant la peau de son cou, le léchant, partout ses mains contre son corps, l’une concentré à un endroit particulier, l’autre s’amusant partout ou c’était possible. Un nouveau soupire d’aise brisa la barrière de ses lèvres, fermant doucement les yeux, cambrant – à peine, le dos. Dans un autre sens, c’était bien, c’était bon. Sa main glissa contre sa nuque, descendant en même temps que sa langue s’aventurait plus bas, contractant les muscles de son ventre sous la caresse humide. Il fallait avouer que si l’infirmier décidait de venir vérifier l’état de Hee à ce moment précis, il en aurait probablement eu une grande satisfaction. Il ne forçait pas le gamin –Déjà installé entre ses cuisses , c’était même le contraire, Hee le forçait à se laisser faire. Un son plutôt grave s’entremêla avec un de ses soupires, ouvrant légèrement la bouche, relevant le bassin alors que le plus jeune pointait le bout de sa langue contre son membre, glissant toujours un peu plus bas. Seigneur, comment pouvait-il être aussi doué alors qu’il n’avait jamais été avec un autre homme. Ou avait-il apprit à être comme ça ? Ce n’était certainement pas lui qui lui avait montré ! Son souffle se coupa, resserrant ses doigts contre les cheveux du gamin. Le chatouillement qu’il avait ressentit, un peu plus bas que normalement était nouveau. Sa bouche s’ouvrit complètement, inspirant profondément, ouvrant rapidement les yeux ronds. Oh seigneur, Doux jésus, DIABLE ! Il n’était pas religieux, mais les mots semblait être de soit. Il coinça sa lèvre inferieur entre ses dents, étouffant le gémissement qui se logeait à l’intérieur de sa gorge. Formant une boulle énorme. Ce n’était pas du tout à ce qu’il c’était attendu, en fait il n’y avait jamais réellement pensé. En temps normal cet endroit est généralement interdit, sachant pertinemment que c’est sensible. Endroit qui ordinairement est soit oublié OU endroit privilégier par les femmes en pleine colère ! Les muscles de son corps lui semblaient tendus à leur maximum, tordant légèrement les hanches plus le geste du gamin devenait concentré, intense. Il avait tout simplement du mal à faire le point dans sa tête, à l’empêcher tant le risque était grand, à lui – Borde, arrêtons simplement là, c’était bon un point c’est tout. Sa main glissa jusqu’à sa joue, la caressant maladroitement. Il avait même de la difficulté à exécuter ça.
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| | | | Hwang Hee Jae
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| | Sujet: Re: take it like a man. Mar 2 Juin - 5:21 | |
| Il leva la tête en apercevant la contradiction – très visible – dans le visage du plus vieux, un sourire amusé contre les lèvres. C’était à peine s’il n’éclatait pas de rire. Il se retint d’ailleurs, pinçant les lèvres ensembles, son regard se transformant en quelque chose de presque tendre. Il posa ses mains de chaque coté de son corps, son dos se courbant d’une façon presque féline alors qu’il se dressait – juste assez pour le regarder correctement. Il l’observa, sans le toucher, l’instant de quelques secondes, cherchant à ce que l’autre le regarde lui aussi. Lorsque son regard rencontra le siens, il mordilla volontairement sa lèvre inférieure, déjà toute rougie. Volontairement. Il lui adressa un doux sourire, l’admirant sans le cacher. Puis il détourna le regard, le posant vers son corps. Sa gorge tendue. Ses muscles, qui s’étaient contractés depuis. Les veines le long de ses bras – son regard courra jusqu’à ses doigts, qui agrippaient le vide, le rien. Il s’appuya un peu mieux sur ses genoux et posa délicatement ses doigts contre ses côtes, les glissant doucement jusqu’à ses hanches. Ses doigts se glissèrent sous son bassin, tandis que ses lèvres se posaient de nouveau au niveau de son nombril – ses hanches, le bas de son ventre, la forme parfaite du « V » que formaient ses hanches en descendant. Il soupira contre sa peau, son souffle chaud s’évadant contre celle-ci. Il aurait pu l’embrasser, lui faire plaisir, le caresser des heures de temps. Il ne s’en lassait pas. Son nez se pressa légèrement contre sa hanche, alors qu’il s’enivrait une fois de plus de son odeur. Ce n’était pas juste son parfum – c’était lui. Lui tout entier. Parce qu’il était beau. Beau lorsqu’il murmurait son prénom, lorsqu’il cambrait la tête sous le plaisir qu’il lui offrait. Beau lorsqu’il arquait le dos, légèrement. Lorsqu’il pinçait les lèvres pour retenir un gémissement, lorsque la gêne le prenait. Il glissa sa main droite contre sa cuisse, jusqu’à l’intérieur, descendant jusqu’à ses fesses qu’il caressa délicatement. Il se retrouva bientôt lui-même dans le même état que l’autre, son pantalon serré et son cœur – inévitablement – recommençait à faire des siennes. Il mordilla la peau du plus vieux, une pointe de frustration naissant au creux de son ventre. Il se redressa et tourna la tête vers la machine, tentant de calmer son cœur. Il prit une grande respiration et ferma les yeux quelques secondes. Puis, mordillant l’intérieur de sa joue, il reposa son regard vers le corps de l’autre. Le membre parfaitement tendu contre son ventre. Un choc électrique sembla traverser son corps, et une plainte désespérée s’échappa d’entre ses lèvres. Il voulait. Il n’en pouvait plus. Il enjamba son corps, pour se trouver assis contre le bas de son ventre.
Ses mains se posèrent de chaque coté de sa tête, l’obligeant à se redresser un peu plus pour s’asseoir. Ses lèvres se posèrent contre les siennes, avec force, alors qu’il bougeait son bassin contre le siens. Il glissa une main sous sa nuque et posa sa tête contre la sienne, fermant les yeux. Il le regarda finalement dans les yeux, ses mains se posant de nouveau contre sa tête. Il murmura quelques mots avant de retirer son propre t-shirt, qui resta inévitablement pendu à son poignet – lui arrachant une grimace douloureuse lorsqu’il pesa contre les tubes à sa main. Il grogna furieusement avant d’attraper un bout du t-shirt, tirant avec force jusqu’à ce qu’une fissure se fasse contre la manche – et le t-shirt retomba lamentablement au sol. Mais enfin. Enfin. Il plaqua son corps contre celui de l’autre et soupira d’aise – enfin. Et, pour une des premières fois dans toute sa vie, il jura.
Putain. Bordel. Merde. J’en ai rien à faire, il peut bien faire venir tout le personnel s’il veut.
Il le repoussa contre le lit et reposa ses lèvres contre les siennes, pressant son bassin un peu plus fort contre le siens. Eh bien, dis donc, en voilà une manière de se remettre en… forme. | |
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